Les taux d'emploi et de participation de la population née à l'étranger sont souvent supérieurs à ceux de la population née dans le pays
Le taux d'emploi des hommes nés à l'étranger est plus susceptible que celui des femmes nées à l'étranger d'être supérieur à celui de leurs pairs autochtones
Dans la plupart des pays partenaires du projet, le taux de chômage des immigrés a un niveau proche ou inférieur à celui des autochtones
Les travailleurs immigrés sont relativement jeunes dans la moitié des pays partenaires du projet
Si le taux de chômage des jeunes est souvent inférieur parmi les travailleurs nés à l'étranger, ce constat ne vaut toutefois pas pour les femmes
Le pourcentage de jeunes sans emploi ne suivant ni études ni formation (NEET) est faible chez les jeunes hommes nés à l'étranger, mais pas chez leurs homologues de sexe féminin
L'emploi salarié est plus répandu parmi les travailleurs immigrés
Les travailleurs immigrés bénéficient d'un recul de l'emploi vulnérable dans la plupart des pays partenaires du projet
L'emploi dans le secteur des services est en hausse, en particulier parmi les travailleurs immigrés
La répartition sectorielle de l'emploi diffère entre les travailleurs autochtones et ceux nés à l'étranger
Les travailleurs nés à l'étranger sont souvent surreprésentés dans les professions peu qualifiées
Contrairement à celle des travailleurs autochtones, la part des travailleurs nés à l'étranger dans les professions peu qualifiées tend à augmenter
La croissance des professions est en grande partie imputable aux jeunes travailleurs
La répartition professionnelle diffère entre les nouveaux immigrés et les jeunes nouveaux entrants sur le marché du travail
C'est au Rwanda et en Thaïlande que les différences de répartition professionnelle entre les travailleurs nés à l'étranger et ceux nés dans le pays sont les plus marquées
Les travailleurs ayant au plus un niveau d'éducation primaire représentent une part importante des actifs occupés de nombreux pays
Les travailleurs nés à l'étranger ont en général un niveau d'éducation inférieur à celui des travailleurs autochtones, mais sont également bien représentés parmi les diplômés de l'enseignement tertiaire
À l'échelle nationale, la prévalence de la surqualification n'est pas nécessairement plus forte parmi les travailleurs immigrés
La prévalence de la surqualification est en général plus forte dans les professions peu qualifiées, bien que dans une moindre mesure parmi les travailleurs nés à l'étranger
Dans la plupart des pays partenaires du projet, les taux de sous-qualification sont plus élevés parmi les travailleurs nés à l'étranger
Les taux de sous-qualification sont presque toujours plus élevés parmi les travailleurs immigrés exerçant une profession élémentaire