Après la crise, les performances économiques ont été vigoureuses
Les prix réels des logements augmentent fortement
Les taxes environnementales et impôts fonciers périodiques sont peu élevés
La hausse de la productivité est atone
La croissance de la population a été supérieure au rythme des constructions nouvelles
Le parc locatif social n’est pas très important
Le niveau de bien-être est élevé dans de nombreux domaines
Les écarts de salaire et d’emploi entre hommes et femmes sont relativement faibles
Le risque de pauvreté parmi les immigrés est préoccupant
L'évolution macroéconomique est robuste
L'essentiel des exportations du Luxembourg est destiné à ses partenaires européens
Les vulnérabilités macrofinancières se sont accrues sur les marchés du logement et du crédit
Le secteur financier représente une part importante de la valeur ajoutée totale
Les services financiers contribuent fortement à la croissance de la valeur ajoutée
Les actifs sous gestion sont sur une trajectoire ascendante depuis la crise
Les prix réels des logements s'élèvent rapidement
La part des ménages surendettés est élevée, en particulier parmi ceux disposant d’un faible patrimoine
Des mesures macroprudentielles axées sur les emprunteurs sont de plus en plus utilisées
La corruption est perçue comme très faible
Le solde budgétaire est solide
Les coûts liés au vieillissement devraient augmenter sensiblement
L’endettement est viable à long terme, à condition que des mesures soient prises face à la hausse des coûts liés au vieillissement
Le chômage touche surtout les jeunes travailleurs peu qualifiés
Les pièges du chômage sont particulièrement importants pour les travailleurs à faible revenu
Les taxes environnementales et les impôts périodiques sur la propriété immobilière sont faibles
La productivité est élevée, mais sa croissance a été lente ces dernières années
La contribution du secteur financier aux gains de productivité a diminué, et les autres secteurs des services peinent à rattraper leur retard
Le tassement des gains de productivité résulte d'une stagnation à la frontière et d’une chute des retardataires dans les services
De nombreux secteurs présentent des cas atypiques de faible productivité
Les faiblesses des gains de productivité concernent des entreprises de toutes tailles
Il est possible de réduire la congestion due aux entreprises zombies
Déficient, le régime luxembourgeois de l'insolvabilité doit être réformé
La pénurie de compétences en informatique demeure élevée, alors que les entreprises n’offrent guère de formation aux TIC
Au Luxembourg, comme ailleurs, les petites entreprises accusent un retard dans la transition numérique
Trop peu d’entreprises et de salariés sont conscients de l’importance de la formation continue
Les marchés de produits restent fortement réglementés malgré les récentes réformes
La productivité multifactorielle ne s’est pas redressée depuis la crise financière
Les dépenses de R-D restent largement inférieurs à l’objectif de l’UE pour 2020
Indicateurs de croissance verte : Luxembourg
Le Luxembourg est devenu un leader de la cotation d’obligations vertes
La forte croissance démographique devrait se poursuivre
La croissance démographique est tirée par le solde migratoire
La construction de logements n’a pas progressé au même rythme que la population
Le prix réel des logements enregistre une forte progression
La hausse des ratios prix/revenu et prix/loyers dénote des problèmes d’accessibilité financière
Le coût du logement pour les ménages est élevé
Les variations régionales du prix des logements reflètent la distance à la capitale
La surface bâtie par habitant est importante
Le taux de croissance de la surface bâtie par habitant est fortement négatif
Les prix du foncier à bâtir varient fortement dans le pays
Les prix de la construction ont fortement augmenté
Les frais de transaction sont élevés
Les constructions neuves s’orientent vers les immeubles à appartements
Le nombre moyen de pièces par membre du ménage est élevé pour tous les modes d’occupation
Les niveaux de bruit et de pollution perçus sont élevés
L’étalement urbain est important
L’accession à la propriété est le mode d’occupation du logement le plus répandu
Les taux marginaux d'imposition effectifs sur les biens d’habitation occupés par leurs propriétaires sont bas
La fiscalité sur le patrimoine est principalement composée de l’impôt sur l’actif net
Les impôts périodiques sur la propriété immobilière sont faibles
Les autres biens immobiliers sont principalement détenus par les 10 % les plus riches
Le parc locatif social est restreint
Le nombre de logements vacants pourrait être davantage réduit
Les logements locatifs sociaux sont principalement fournis par des organismes publics
De nombreux ménages aux revenus élevés figurent parmi les bénéficiaires de logements locatifs subventionnés
De nombreux ménages modestes dépendent du secteur locatif privé