Les pays partenaires du projet IPPMD représentent un large éventail de niveaux de revenu
Les pays partenaires du projet IPPMD représentent un large éventail de contextes migratoires
L'éventail d'institutions couvert par les entretiens avec les parties prenantes
Les caractéristiques du marché de l'emploi varient considérablement dans les dix pays partenaires, 2015
Le chômage frappe plus durement les jeunes, 2015
La part de l'agriculture dans l'emploi va en diminuant, 2005-2015
Les niveaux de compétences affectés par l'émigration diffèrent selon les pays
Les émigrés sont plus susceptibles d'avoir été actifs que les non-migrants
Dans la plupart des pays, la proportion d'adultes actifs est la plus faible dans les ménages migrants recevant des transferts de fonds d'anciens membres
Le travail indépendant représente une part importante de l'emploi dans la plupart des pays
La proportion de travailleurs indépendants est plus élevée dans les ménages qui reçoivent des transferts de fonds
Les migrants de retour sont plus susceptibles d'être travailleurs indépendants que les non-migrants
Le travail indépendant est plus fréquent chez les migrants après leur retour qu'il ne l'était avant leur migration
Les ménages comptant des migrants de retour sont plus susceptibles de compter un travailleur indépendant
Les compétences professionnelles des non-migrants diffèrent de celles des migrants de retour
La part des adultes occupant un emploi est plus élevée chez les immigrés que chez les autochtones
Au Costa Rica et en République dominicaine, les travailleurs immigrés ont souvent des emplois peu qualifiés
Les bénéficiaires des services des bureaux de placement du gouvernement sont plus nombreux que les non-bénéficiaires à envisager d'émigrer
Le taux de participation aux programmes de formation professionnelle varie selon les pays du projet IPPMD
Le poids de l'agriculture dans l'économie varie selon les pays
L'importance des terres arables et de la production de viande animale varie selon les pays
La proportion et le nombre de ménages agricoles varient selon les pays
L'activité agricole des ménages reflète pour l'essentiel le tableau macroéconomique
Dans certains pays, les ménages avec un émigré comptent davantage sur le travail de leurs membres
Dans la plupart des pays, les ménages avec un émigré embauchent des travailleurs externes
Dans plusieurs pays, les ménages investissent les transferts de fonds dans les actifs agricoles
Au Burkina Faso, les ménages avec un migrant de retour sont plus susceptibles d'avoir fait des dépenses agricoles
En République dominicaine, les ménages agricoles recevant des transferts de fonds sont plus susceptibles de diriger une entreprise non agricole
Les ménages agricoles avec un migrant de retour sont plus susceptibles de posséder une entreprise non agricole dans certains pays
Les ménages immigrés sont moins susceptibles d'exercer des activités agricoles
Les ménages immigrés peuvent contribuer à la création d'emplois
Les subventions agricoles peuvent réduire l'émigration dans les pays plus riches, mais l'accroître dans les pays plus pauvres
Les immigrés ont moins accès aux subventions agricoles
L'émigration est liée à la formation agricole dans certains pays
Les taux nets de scolarisation au primaire et la durée moyenne de scolarisation varient dans les dix pays partenaires
Les dépenses publiques d'éducation ne sont pas nécessairement liées aux taux de scolarisation et au rapport élèves-maître
La part de la population qui a fait des études post-secondaires varie notablement selon les pays
Les individus qui ont fait des études post-secondaires sont plus susceptibles d'avoir l'intention d'émigrer
Les liens entre fréquentation scolaire et intention d'émigrer au Burkina Faso et au Cambodge
Les émigrés venant de Côte d'Ivoire, de Haïti et du Maroc sont plus susceptibles de renforcer leurs compétences en émigrant
Une proportion importante d'émigrés rentrent au Costa Rica, au Maroc et en République dominicaine avec de nouvelles compétences
Les ménages recevant des transferts de fonds dépensent plus pour l'éducation dans cinq pays sur neuf
Les enfants de ménages recevant des transferts de fonds sont proportionnellement plus nombreux à aller dans une école privée
Les immigrés ont généralement un niveau d'éducation plus faible que les personnes nées dans le pays
La part des bénéficiaires de politiques d'éducation varie selon les pays
Les transferts monétaires conditionnels liés à l'éducation réduisent peut-être l'émigration en République dominicaine et aux Philippines
Les ménages avec un immigré ont moins accès aux programmes liés à l'éducation
Les taux de possession d'un compte bancaire et d'épargne formelle sont positivement corrélés
Les communautés urbaines ont un meilleur accès aux institutions financières
Les pays partenaires diffèrent considérablement en termes de facilité de faire des affaires
De nombreux ménages décident de rembourser des dettes après l'émigration d'un de leurs membres
Le recours aux transferts de fonds pour rembourser une dette est lié au financement de l'émigration par l'emprunt
Les ménages recevant des transferts de fonds sont souvent plus susceptibles d'avoir une entreprise
Les ménages ne recevant pas de transferts de fonds ont des entreprises légèrement plus grandes
Les ménages recevant des transferts de fonds sont généralement plus nombreux à avoir de l'immobilier
Les ménages avec un migrant de retour sont généralement plus susceptibles d'exploiter une entreprise
Les ménages avec un migrant de retour sont légèrement plus susceptibles d'avoir de l'immobilier
Dans la majorité des pays partenaires, les ménages recevant des transferts de fonds sont nettement plus susceptibles d'avoir un compte bancaire
Les conditions imposées par les banques sont une barrière à l'accès à un compte bancaire dans de nombreux pays
Les ménages recevant des transferts de fonds qui ont un compte bancaire reçoivent en moyenne des montants plus élevés
Peu de ménages ont participé à des programmes de formation financière
Les formations en entrepreneuriat et en gestion sont offertes dans moins de la moitié des communautés de l'échantillon
Le poids des dépenses de santé dans le PIB varie beaucoup selon les pays
La part des dépenses sociales dans le PIB varie beaucoup selon les pays
Les taux de travail informel varient considérablement selon les pays
Les ménages avec un immigré sont moins susceptibles de recevoir des transferts gouvernementaux que les ménages sans immigré
La fréquence d'utilisation des services de santé par les immigrés et les personnes nées dans le pays varie selon les pays
Il y a peu de différences entre les immigrés et les personnes nées dans le pays quant à la fréquence d'utilisation des services de santé
Au Costa Rica et en République dominicaine, les ménages avec un immigré sont généralement moins susceptibles de payer des impôts que les ménages sans immigré
Les ménages avec un migrant de retour paient généralement plus d'impôts que les ménages sans migrant de retour
Les immigrés sont plus exposés à l'absence de contrat de travail formel
Les transferts de fonds n'entraînent généralement pas d'augmentation des dépenses sociales des ménages
Les dépenses sociales publiques réduisent le taux d'émigration
L'absence de contrat de travail formel accroît le taux d'émigration
Les individus sans contrat de travail formel sont plus susceptibles de recevoir des transferts de fonds
Les immigrés sont moins susceptibles de bénéficier d'avantages médicaux liés à l'emploi
L'expérience migratoire varie entre les pays du projet IPPMD
Le Cambodge a connu la croissance la plus rapide en matière d'émigration
La plupart des émigrés rejoignent des pays à haut revenu
La concentration d'émigrés dans les pays de destination varie largement d'un pays à l'autre
Les émigrés sont généralement plus jeunes que les autres membres de leur ménage
En règle générale, l'émigration répond à des motifs professionnels
Les personnes qui prévoient d'émigrer sont plus susceptibles d'avoir appris une langue étrangère
Les ménages avec émigrés comptent moins d'hommes adultes que de femmes adultes
Les ménages d'émigrés sont plus susceptibles d'être dirigés par des femmes
Les ménages avec émigrés sont plus riches que les ménages sans migrants, en moyenne
La part des transferts de fonds dans le PIB varie selon les pays du projet IPPMD
L'Arménie a connu la plus forte croissance des transferts de fonds entrants, 2000-2015
Le poids des transferts de fonds dans le PIB est généralement corrélé avec le taux d'émigration du pays
Migrations et transferts de fonds sont étroitement liés, mais les ménages non migrants reçoivent également des fonds
Lien entre fréquence accrue des transferts de fonds et montants plus élevés des transferts
Les ménages dirigés par des hommes sont plus susceptibles de gérer une entreprise
Absence de lien manifeste entre les dépenses de santé publiques et les transferts de fonds utilisés pour la santé
Le coût des transferts de fonds est très variable selon les corridors de rapatriement de fonds
Les ménages recevant des transferts de fonds de la part d'anciens membres sont généralement dirigés par des femmes
En moyenne, la plupart des migrants de retour reviennent après moins d'une année à l'étranger
Une plus grande part de migrants de retour proviennent de pays à revenu faible et intermédiaire
La plupart des migrants de retour interrogés sont revenus parce qu'ils préfèrent leur pays d'origine
Les ménages avec des migrants de retour dans les pays à revenu intermédiaire sont plus susceptibles de compter des travailleurs indépendants dans des secteurs non-agricoles que les ménages sans migrants de retour
Les entreprises dirigées par des ménages avec migrants de retour ne sont pas nécessairement plus enclines à faire appel à du personnel extérieur que les entreprises dirigées par des ménages sans migrants
Les migrants de retour sont généralement plus instruits dans la plupart des pays
Les migrants très instruits ne sont pas les plus enclins à regagner leur pays d'origine, et ce pour la plupart des pays
Les migrants de retour sont plus souvent surqualifiés pour leur emploi que les non-migrants
Plus la part des ménages agricoles bénéficiant de subventions à l'agriculture est élevée, plus la part des ménages avec des migrants de retour est importante
Les migrants de retour sont plus nombreux à envisager de rester dans les pays où les dépenses en matière de protection sociale sont plus élevées
Les taux d'immigration varient considérablement entre les pays
Le Maroc a connu la plus forte croissance de l'immigration, 2000-2015
De nombreux immigrés proviennent d'un seul pays voisin
Les immigrés passent plus de dix ans en moyenne dans leur pays d'accueil
Les immigrés investissent à des degrés divers dans leur pays d'accueil
Les ménages avec immigrés sont plus nombreux à posséder une entreprise non agricole que les ménages sans immigrés
Variation du taux de surqualification des immigrés selon les pays
Dans certains pays, les contrats de travail formels sont liés à l'accession à la propriété
Variation du taux de migrants en situation irrégulière selon les pays
La plupart des immigrés au Burkina Faso sont les enfants de parents nés dans le pays
Les immigrés en situation régulière sont plus susceptibles d'investir dans le pays d'accueil
Les immigrés sont plus susceptibles de ne pas avoir d'éducation formelle
Le plus grand défi des migrants de retour est de trouver un emploi
L'intention d'émigrer est corrélée avec la participation à des programmes de formation professionnelle