Table of Contents

  • Cette Étude est publiée sous la responsabilité du Comité d’examen des situations économiques et des problèmes de développement (EDR), qui est chargé de l’examen de la situation des pays.La situation économique et les politiques de la République tchèque ont été évaluées par le Comité le 13 février 2014. Le projet de rapport a ensuite été révisé à la lumière de la discussion et définitivement approuvé par le Comité plénier le 28 février 2014.Le projet de rapport du Secrétariat a été établi pour le Comité par Jens Christian Høj et Sonia Araujo sous la direction de Andreas Wörgötter. Béatrice Guérard a apporté une aide à la recherche. Le rapport a également été rédigé avec la coopération de Robert Price, consultant, et grâce aux précieuses recherches de fond menées par Petr Maleček, détaché du ministère tchèque des Finances.L’Étude précédente de la République tchèque a été publiée en Novembre 2011.

  • Les résultats économiques sont demeurés médiocres pendant plus longtemps que dans de nombreux autres pays de l’OCDE. Il se dessine une reprise hésitante, entraînée par les exportations, mais il est peu probable que l’écart de production se réduise fortement à court terme, ce qui suscite un risque de déflation. En outre, le processus de convergence des revenus avec la zone euro s’est essoufflé, sous l’effet de la récession et d’une baisse de la croissance potentielle, reflétant la décélération de l’investissement et de la productivité. Les principaux défis à relever par les pouvoirs publics consistent à soutenir la reprise et à augmenter la croissance potentielle, ce qui semble imposer un renforcement de la concurrence dans le secteur des services et une amélioration de la transition de l’école à la vie active, deux thèmes abordés respectivement aux chapitres 1 et 2.

  • Le processus de convergence des revenus avec la zone euro s’est essoufflé, en raison non seulement d’une récession économique persistante, mais aussi d’un recul estimé de la croissance potentielle, qui, sous l’effet de la diminution de l’investissement et de la décélération de la croissance de la production, est passée de 3.5 % à 1.5 %, soit un fléchissement plus marqué que dans la plupart des autres pays de l’OCDE (OECD, 2013a) (graphique 1). Ainsi, les principaux défis macroéconomiques à relever consistent à soutenir la reprise qui se dessine et à augmenter la croissance potentielle.

  • Ce tableau dresse le bilan des mesures prises à la suite des recommandations formulées dans les Études précédentes. Les recommandations nouvelles formulées dans le cadre de la présente Étude figurent dans les chapitres correspondants.Cette annexe présente sous chaque thème :Recommandations antérieuresMesures prises et évaluation actuelle