• Au cours des dix dernières années, le revenu par habitant a fortement augmenté en Australie, soutenu par des termes de l’échange favorables et des taux d’emploi élevés. Il dépasse désormais sensiblement la moyenne des pays de l’OCDE les plus avancés. Cependant, la croissance de la productivité a beaucoup ralenti durant la même période, en partie du fait de facteurs temporaires liés au boom du secteur minier.

  • Le faible écart de PIB par habitant vis-à-vis des économies de tête de l’OCDE a continué de se resserrer grâce aux gains de productivité du travail. La progression du taux d’activité – surtout parmi les seniors – a été en partie compensée par la baisse conjoncturelle de la durée moyenne du travail.

  • Le faible écart de revenu par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE est resté stable ces dernières années, la réduction du différentiel (positif) de productivité du travail et du nombre d’heures travaillées étant compensée par une hausse des taux d’emploi.

  • L’écart de PIB par habitant entre le Brésil et les pays de l’OCDE se réduit peu à peu, mais il demeure ample et s’explique dans une large mesure par un niveau de productivité relativement faible.

  • Le PIB par habitant se maintient à un niveau tout juste inférieur à la moyenne de la moitié supérieure des pays de l’OCDE, ce qui s’explique entièrement par le retard de la productivité.

  • Le mouvement de rattrapage du PIB par habitant vis-à-vis des économies de tête de l’OCDE s’est poursuivi à vive allure grâce à la progression de l’emploi, mais l’écart reste important car la durée moyenne du travail et la productivité de la main-d’œuvre sont faibles.

  • Le PIB par habitant a fait un bond de près de 55 % entre 2007 et 2012, ce qui a considérablement réduit l’écart avec les pays de l’OCDE. Les taux d’activité restant supérieurs à la moyenne de l’OCDE, la différence de revenu par habitant tient essentiellement à un moindre niveau de capital par travailleur.

  • Les écarts de revenu et de productivité par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE ont cessé de se réduire depuis 2008. L’écart de revenu reflète un ample déficit de productivité, mais la main-d’œuvre pourrait aussi être mieux utilisée.

  • L’écart de revenu par rapport aux pays de tête de l’OCDE s’est creusé au cours des dix dernières années, sous l’effet principalement d’un ralentissement des gains de productivité. Bien qu’il soit encore relativement élevé, le taux d’utilisation de la main-d’œuvre a également diminué ces dernières années. Les taux d’emploi sont élevés, mais le nombre d’heures travaillées est faible.

  • Après un sévère recul durant la crise économique, la convergence économique par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE a repris. Les écarts de productivité et de production par habitant n’en restent pas moins considérables.

  • L’écart de revenu par rapport aux économies de tête de l’OCDE est resté essentiellement inchangé. Il reflète une plus faible productivité et surtout une moindre utilisation de la main-d’œuvre. La durée moyenne du travail a continué de diminuer.

  • L’écart de PIB par habitant par rapport aux économies de tête de l’OCDE s’est un peu creusé pendant la crise financière du fait d’une forte dégradation de la productivité du travail et d’une baisse – moins marquée – de l’emploi, mais la situation a commencé à se redresser dernièrement. L’écart résiduel de PIB par habitant tient essentiellement au déficit de productivité du travail, mais le taux d’utilisation de la main-d’œuvre reste également faible par rapport aux pays les plus performants de l’OCDE.

  • L’écart de PIB par habitant par rapport aux pays de tête de l’OCDE s’est stabilisé à un niveau conséquent depuis le milieu des années 2000, en raison de la faiblesse des taux d’emploi des jeunes et des seniors, ainsi que de la faible durée du travail.

  • L’écart de PIB par habitant a continué de se resserrer par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE. Malgré un modeste recul observé récemment, l’Allemagne se classe parmi les pays les plus performants en termes de productivité horaire du travail. Le taux d’utilisation de la main-d’œuvre a augmenté, mais il est encore nettement inférieur aux niveaux les plus élevés observés dans la zone OCDE.

  • Après avoir régulièrement diminué durant les années 2000, l’écart de PIB par habitant vis-à-vis des pays de l’OCDE les plus performants s’est nettement accentué ces dernières années du fait de la profonde crise économique dans laquelle le pays est enlisé. Le double recul de la productivité du travail et du taux d’utilisation de la main-d’œuvre explique cette dégradation.

  • Le comblement progressif de l’écart de revenu par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE avait déjà cessé avant la récession mondiale. Cet écart reflète un ample déficit de productivité. L’utilisation des ressources en main-d’œuvre est globalement comparable au niveau observé dans les pays de l’OCDE les plus riches, mais le net avantage de la Hongrie en termes de durée moyenne du travail est annulé par un taux d’activité qui figure parmi les plus bas de la zone OCDE.

  • L’écart de revenu par rapport aux économies de tête de l’OCDE s’est creusé ces dernières années en raison de la progression relativement faible de l’emploi et de la durée du travail. L’écart de PIB par habitant reflète une productivité du travail assez basse, alors que les taux d’emploi et la durée moyenne du travail sont élevés.

  • L’économie indienne continue de croître plus vite que celle des pays de l’OCDE, mais l’écart de PIB par habitant avec ces pays reste très marqué en raison de la faible productivité du travail.

  • L’écart de revenu par rapport aux économies de l’OCDE a continué de se resserrer sous l’effet d’une forte accumulation de travail et de capital. La différence résiduelle tient essentiellement à un déficit de productivité.

  • Le revenu par habitant est tombé un peu en dessous du niveau observé dans les économies de tête de l’OCDE, en raison d’une baisse de l’emploi que la croissance continue de la productivité du travail n’a pas suffi à compenser.

  • L’écart de revenu par rapport aux grandes économies de l’OCDE s’est resserré ces dernières années, la hausse du taux d’emploi et de la productivité y ayant contribué pour beaucoup.

  • Le PIB par habitant a accentué son retard par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE. Malgré une intensité croissante de capital, la productivité du travail a à peine augmenté tandis que le taux d’utilisation de la main-d’œuvre reste faible.

  • L’écart de revenu par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE s’est maintenu, une baisse de la consommation de travail ayant compensé des gains relatifs de productivité. Néanmoins, la productivité moyenne du travail demeure inférieure de près d’un quart à celle des économies de tête de l’OCDE, tandis que le taux d’utilisation de la main-d’œuvre est légèrement supérieur.

  • Le PIB par habitant continue de croître rapidement, hissant la Corée au niveau du quart de la moitié supérieure des pays de l’OCDE. La Corée se caractérise par une faible productivité, inférieure de moitié environ à celle des pays de tête de l’OCDE, mais par la durée du travail la plus longue de la zone OCDE.

  • Le revenu par habitant est resté nettement supérieur à celui des autres pays de l’OCDE. La productivité mesurée a baissé, en raison principalement du fléchissement des cours des valeurs mobilières. L’emploi et la productivité restent élevés, mais le taux d’activité a faibli.

  • L’écart de PIB par habitant considérable qui persiste par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE s’explique principalement par un niveau peu élevé et un faible taux de croissance de la productivité du travail.

  • Au cours des deux décennies écoulées, le PIB par habitant est resté à peu près conforme à celui de la moitié supérieure des pays de l’OCDE. La forte productivité horaire s’est ralentie quelque peu depuis le milieu des années 2000, tandis que le nombre d’heures travaillées par salarié a continué de baisser.

  • L’écart de revenu par rapport aux économies de tête de l’OCDE demeure considérable. Les taux d’utilisation de la main-d’œuvre étant parmi les plus élevés de la zone OCDE, l’écart de revenu s’explique entièrement par un important déficit de productivité horaire du travail.

  • Les écarts positifs considérables de PIB continental et total par habitant par rapport aux pays de tête de l’OCDE se sont quelque peu réduits. En ce qui concerne l’économie de la Norvège continentale, la contribution de la productivité du travail à la croissance du revenu a légèrement diminué, du fait à la fois d’une moindre intensité capitalistique et d’une plus faible croissance de la productivité multifactorielle, tandis qu’une hausse du taux d’emploi a accru l’utilisation de la main-d’œuvre.

  • Le PIB par habitant se rapproche régulièrement de la moitié supérieure des pays de l’OCDE en raison d’une forte croissance de la productivité du travail et d’une meilleure utilisation de la main-d’œuvre. Le retard par rapport aux pays les plus performants demeure cependant considérable, du fait principalement d’un important écart de productivité du travail et du faible niveau d’emploi des travailleurs âgés.

  • L’écart de PIB par habitant par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE s’est resserré au cours de la décennie passée, en raison principalement d’une baisse du taux d’utilisation de la main-d’œuvre. Toutefois, une productivité plus faible reste l’unique facteur expliquant l’écart substantiel de revenu.

  • L’écart de PIB par habitant par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE a diminué au cours de la période de forte expansion de 2000-08, avant de se creuser durant la crise mondiale. La reprise d’une croissance relativement rapide de la production en 2010-11 a rétabli la convergence. L’écart de revenu par habitant est imputable exclusivement à la plus faible productivité puisque la Russie a un niveau d’utilisation de la main-d’œuvre relativement élevé.

  • L’ample écart de revenu par habitant par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE s’est encore rétréci, grâce à une forte progression de la productivité du travail, mais le niveau d’utilisation de la main-d’œuvre accuse encore du retard.

  • Après s’être resserré régulièrement avant la crise, l’écart de PIB par habitant par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE, imputable principalement à un déficit de productivité du travail, s’accentue depuis 2008.

  • L’écart de PIB par habitant par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE ne se resserre que progressivement depuis environ l’an 2000, et le revenu par habitant a augmenté un peu plus vite en raison d’une amélioration régulière des termes de l’échange. La contribution du faible taux d’utilisation de la main-d’œuvre à l’écart de PIB par habitant, qui était déjà importante, s’est encore accrue dans le sillage de la crise mondiale.

  • L’écart de revenu par rapport aux économies de tête de l’OCDE s’est creusé, en raison de pertes d’emplois massives. La récente amélioration de la productivité s’explique par des licenciements dans les activités à faible productivité.

  • L’écart de revenu par rapport aux économies de tête de l’OCDE s’est resserré, en raison d’une forte croissance de la productivité et de l’emploi. Les taux d’emploi sont élevés, mais la durée moyenne du travail est faible. L’écart restant de PIB par habitant est imputable principalement à un déficit de productivité.

  • La progression du PIB réel par habitant a été un peu plus marquée que dans les pays les plus performants ces cinq dernières années, grâce notamment à une utilisation accrue de la main-d’œuvre induite par l’immigration. Toutefois, l’écart de productivité a perduré.

  • L’écart de revenu par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE s’est resserré dans les années 2000 mais il demeure important. Le fort rattrapage observé dans les années 2000 s’explique par les gains de productivité accumulés pendant la majeure partie de la période, et par l’accélération de la création d’emplois dans les secteurs autres que l’agriculture ces dernières années.

  • L’écart de PIB par habitant par rapport à la moitié supérieure des pays de l’OCDE s’est un peu accentué. Le niveau d’utilisation de la main-d’œuvre reste égal à celui des pays les plus performants de la zone OCDE, mais la productivité du travail est relativement faible et a baissé.

  • L’écart positif de PIB par habitant entre les États-Unis et la moitié supérieure des pays de l’OCDE a perduré tout au long de la décennie passée, malgré une légère diminution durant la crise financière. La croissance de la productivité du travail est restée stable, mais les taux d’emploi et la durée moyenne du travail ont contribué à une faible utilisation de la main-d’œuvre.