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Higher Education Management and Policy

Institutional Management in Higher Education

  • Discontinued

Previously published as Higher Education Management, Higher Education Management and Policy (HEMP) is published three times each year and is edited by the OECD’s Programme on Institutional Management in Higher Education. It covers the field through articles and reports on such issues as quality assurance, human resources, funding, and internationalisation. It also is a source of information on activities and events organised by OECD’s IMHE Programme.

English Also available in: French

Defining the role of academics in accountability

Institutional Management in Higher Education

The policy debate on accountability in higher education has been vigorous in many countries, but it has focused primarily on broad objectives or approaches. Limited attention has been paid to the mechanisms by which universities would implement accountability objectives and to the critical role of academics in developing ways to assess learning outcomes. Yet, giving members of the professoriate a central role in accountability is vital: implementing accountability requires decentralised implementation linked to the differing circumstances of study fields and levels. Academics must be involved in a sequence of tasks – developing assessments, testing and refining them against new evidence, making sense of accountability results, and responding with changes in programmes or delivery.

This paper outlines a process showing how universities and other tertiary institutions could develop and use outcome measures for student learning. It also recognises that professional and disciplinary associations (e.g. business, education, chemistry, literature and social welfare), nationally and internationally, could contribute to these developments in their specialty fields.

En quoi les professeurs de l’enseignement supérieur peuvent-ils contribuer à « responsabiliser » leurs établissements ?

L’idée d’une responsabilisation de l’enseignement supérieur a donné naissance, dans de nombreux pays, à un débat politique houleux. Toutefois, ce débat vise essentiellement à définir des objectifs ou des approches génériques, et s’intéresse relativement peu aux mécanismes grâce auxquels les universités pourraient avancer sur la voie des objectifs de transparence. De même, il faudrait s’interroger davantage sur le rôle clé que pourraient jouer les universitaires pour concevoir de nouvelles méthodes d’évaluation des retombées de l’apprentissage. Il est en effet essentiel que les membres du corps enseignant jouent un rôle central dans les initiatives visant à accroître la responsabilité et la transparence des systèmes d’enseignement supérieur : pour fonctionner durablement, ces initiatives doivent être menées de façon décentralisée, au vu des spécificités propres à chaque discipline et à chaque niveau d’études. Dans cette optique, les universitaires ont bel et bien un rôle à jouer à différents stades : il leur faut élaborer des outils d’évaluation, mais aussi tester et adapter ces outils au vu des résultats de recherche les plus récents, interpréter les résultats obtenus en termes de responsabilité et modifier si nécessaire les programmes ou les méthodes pédagogiques.

Ce rapport propose un cadre théorique utilisable par les universités et les autres établissements d’enseignement supérieur pour concevoir puis utiliser des outils permettant d’évaluer les retombées de l’apprentissage. L’auteur suggère par ailleurs que certaines professions et disciplines (telles que les entreprises commerciales, le secteur éducatif, l’industrie chimique, le monde littéraire ou encore les organismes de protection sociale) pourraient contribuer, à l’échelon national et international, à promouvoir cette évolution dans leurs domaines respectifs.

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