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Les pays en développement redoutent que les réductions tarifaires multilatérales ne pénalisent leur secteur agricole à cause de l'érosion des préférences. Ce rapport indique que même si ce risque peut exister pour certains pays et certains secteurs, d’autres facteurs que les régimes préférentiels peuvent limiter les exportations de ces pays. L'ouvrage apporte des informations sur l’ampleur du recours des pays en développement à une série de régimes préférentiels non réciproques mis en place par l’Union européenne et les États-Unis. Les données secondaires sont complétées par des entretiens menés auprès des intervenants de ces marchés, qui viennent éclairer les résultats empiriques exposés. Les préférences accordées aux pays d’Afrique font l’objet d’une section spéciale proposant un état des lieux pour ce groupe de pays en développement.

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Les échanges et l'ajustement structurel : Les enjeux de la mondialisation recense les conditions à remplir pour réaffecter avec succès la main-d’œuvre et le capital à des emplois et des usages plus efficients face à l’émergence de nouvelles sources de concurrence, au progrès technologique et à la réorientation des préférences des consommateurs. L’ouvrage s’intéresse en outre aux moyens de limiter les coûts d’ajustement pour les individus, les collectivités, et la société tout entière. Fondé sur des études de cas sectorielles spécifiques, cet ouvrage analyse les enjeux de l’ajustement et le cadre d’action dans les pays développés et en développement. Il formule des recommandations concrètes sur les bonnes pratiques.

Anglais
  • 27 juin 2005
  • OCDE
  • Pages : 200

Les membres du Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE consacrent chaque année près de 70 milliards USD à l’aide extérieure (la coopération pour le développement). Comment gérer au mieux cette aide ? Tel est le thème de la présente étude qui analyse les structures et les pratiques organisationnelles de 22 des principaux pays donneurs du monde.

Anglais

Ce document de référence du CAD décrit les principaux aspects à prendre en considération dans la conception d’une « réforme fiscale écologique » (RFE). La RFE recouvre un ensemble de mesures fiscales et de tarification qui permettent d’obtenir des recettes budgétaires tout en contribuant à la réalisation d’objectifs environnementaux. Le but est de définir des « bonnes pratiques » et de fournir des indications sur la façon dont les organismes de coopération pour le développement peuvent aider les pays en développement à tirer parti des méthodes de RFE dans le cadre de leurs stratégies de développement et de lutte contre la pauvreté.

Après un examen des instruments de la RFE et des problèmes techniques qui leur sont liés, les Lignes directrices et ouvrages de référence mettent l’accent sur les questions politico-économiques et les problèmes de gouvernance soulevés par la réforme. Le document se penche en particulier sur les conditions préalables d’une conception et d’une mise en œuvre couronnées de succès, sur les diverses étapes du cycle des politiques dans le cadre de la RFE, sur les problèmes à résoudre à chacune de ces étapes, ainsi que sur les principaux acteurs concernés. La façon dont les donneurs peuvent soutenir les processus de RFE y est également décrite.

La suite du document examine les enjeux de la RFE dans le contexte de certains secteurs économiques particulièrement importants pour les pays en développement : exploitation des forêts, pêche, combustibles fossiles, électricité, eau potable et lutte contre la pollution industrielle.

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Les pouvoirs publics des pays développés ont recours depuis longtemps à des mesures visant de manière directe ou indirecte (par la biais de la fiscalité) à encourager l’ensemble de la population à se constituer un capital grâce à l’épargne, l’accession à la propriété immobilière, les fonds de pension, l’investissement dans la formation (capital humain) ou l’entreprise. Bien souvent, ces mesures ne bénéficient pas aux pauvres. En effet, l’action publique ne stimule pas l’épargne pour ces catégories, elle a même plutôt un effet dissuasif. Pourtant, ce livre montre que les pauvres ont envie d’épargner et qu'ils parviennent à mettre de côté des sommes modestes, parfois au prix de sacrifices beaucoup plus importants que ne l’imaginent les décideurs et les catégories favorisées. Élargir les politiques de constitution du patrimoine aux pauvres peut être un élément décisif dans la lutte contre la pauvreté et l’aliénation sociale et économique. En terme de bien-être social, ces politiques ont des effets que la garantie de ressources ne saurait à elle seule générer.

Cette publication fournit le contexte indispensable à un débat fructueux sur les mérites et les inconvénients de la constitution de patrimoine chez les pauvres. Elle définit les notions fondamentales sur lesquelles reposent les dispositifs de constitution de patrimoine, ainsi que les avantages qu’y voient ses tenants du point de vue de la politique sociale. Enfin, cette publication décrit des programmes et des projets concrets.

Italien, Espagnol, Anglais
  • 29 avr. 2004
  • Marc Flandreau, Frédéric Zumer
  • Pages : 152


Cet ouvrage retrace la genèse de l’intégration financière internationale au cours de la première ère « moderne » de mondialisation, de 1880 à 1913 et apporte une aide précieuse pour affronter les dilemmes auxquels sont actuellement confrontés les responsables de l’action publique. Reposant sur des données historiques, les auteurs parviennent à cette conclusion essentielle : la réussite de l’intégration financière internationale dépend finalement peu d’une simple orientation politique concernant l’opportunité d’ouvrir ou de fermer une économie aux mouvements internationaux.

Anglais
  • 12 févr. 2004
  • Frank Bodmer, Silvio Borner, Markus Kobler
  • Pages : 108

La nouvelle économie institutionnelle (NEI) a, certes, une approche pluridisciplinaire des phénomènes économiques tels que la croissance, l'efficience et la distribution des revenus. Mais les auteurs de cet ouvrage tentent d’appliquer la démarche intégrée qui, jusqu'à présent, faisait défaut à ce type d’approche en analysant à la fois l’influence des institutions sur le développement économique et les facteurs qui déterminent la qualité institutionnelle. Prenant le cas de l'Argentine, ils appliquent le cadre d'analyse développé et exposé dans l'étude pour tester leurs hypothèses théoriques. Ils observent que leur concept de qualité institutionnelle et la distinction qu'ils font entre institutions économiques et institutions politiques sont validés dans la pratique. En outre, leur regard sur certaines structures institutionnelles particulières – démocratie et autocratie – et leurs réflexions sur l'influence des « traditions » juridiques et culturelles ajoutent une dimension supplémentaire à l'ouvrage qui peut prêter à controverse mais confère à l’étude une actualité stimulante.

A un moment où les gouvernements nationaux et les institutions internationales s'efforcent de trouver les moyens d'améliorer la gouvernance et d'accélérer la croissance, en particulier dans les pays pauvres, ce travail fournit des éclairages précieux aux responsables gouvernementaux et à ceux qui les conseillent. Il apporte des éléments convaincants sur la qualité institutionnelle comme facteur déterminant du développement et montre comment, précisément, la qualité institutionnelle pourrait être améliorée.
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L'investissement direct étranger (IDE) fait partie intégrante d'un système économique international ouvert et efficace et constitue l'un des principaux catalyseurs du développement. Les avantages qu’il procure ne se manifestent cependant pas de manière automatique et se répartissent inégalement entre les pays, les secteurs et les collectivités locales. Les politiques nationales et le cadre international de l'investissement jouent un rôle déterminant pour attirer des IDE vers un plus grand nombre de pays en développement. C'est aux pays d'accueil qu'il incombe de mettre en place des conditions générales, transparentes et favorables à l'investissement et de renforcer les capacités humaines et institutionnelles nécessaires pour les exploiter. 

La plupart des flux d'IDE prenant leur origine dans les pays de l'OCDE, les pays développés peuvent contribuer à la réalisation de ce programme. Ils peuvent faciliter l'accès des pays en développement à la technologie et aux marchés internationaux, et assurer plus généralement la cohérence de leurs actions en faveur du développement ; ils peuvent encourager des pays non membres de l'OCDE à intégrer plus étroitement les cadres internationaux fondés sur des règles qui sont applicables à l'investissement ; ils peuvent promouvoir activement les Principes directeurs de l'OCDE à l'intention des entreprises multinationales ainsi que les autres éléments de la Déclaration de l'OCDE sur l'investissement international ; ils peuvent enfin partager avec les non-membres l'approche mise au point par l'OCDE pour renforcer, au moyen d'examens mutuels, les capacités en matière d'investissement. 

Cette publication offre un examen complet de l'impact de l'IDE sur le développement. Elle couvre de nombreux thèmes tels que croissance économique, transfert de technologie, capital humain, concurrence, gouvernement d’entreprise et environnement. Elle examine également les politiques nécessaires pour maximiser les bénéfices. 

Anglais
  • 25 sept. 2003
  • Angus Maddison
  • Pages : 290

Cette publication fait suite à L'économie mondiale : une perspective millénaire, publié par l’OCDE en 2001. Angus Maddison y propose une vision particulièrement pénétrante de l’histoire et de l’influence politique des comptes nationaux et de la comptabilité nationale. Il montre que ces données statistiques peuvent éclairer l’observateur d’aujourd’hui ou de demain sur l’analyse de phénomènes économiques comme la croissance, la formation des marchés et la répartition des revenus. Cette approche est particulièrement intéressante pour les pays en développement. Cet ouvrage rappellera également aux pays de l’OCDE que l’action des pouvoirs publics doit, pour être couronnée de succès, reposer sur la réalité de données économiques vérifiables. …Un rapport indispensable pour tous les chercheurs et étudiants en économie et en histoire de l’économie ainsi que pour les statisticiens. Pour plus d’informations, visitez notre site : www.theworldeconomy.org.

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  • 31 mars 2003
  • OCDE
  • Pages : 252

Il ne sera possible de poursuivre la lutte contre la pauvreté dans le monde que si la « société civile » au sens large, c’est-à-dire les citoyens des pays riches, soutient activement et de façon déterminante les efforts internationaux de coopération pour le développement. La bonne volonté est là sans aucun doute. McDonnell, Solignac Lecomte et Wegimont (2003) montrent que dans les pays membres du CAD/OCDE, le soutien de l’opinion publique à l’aide consentie aux pays pauvres n’a pas faibli depuis près de vingt ans. Il n’y a pas de lassitude à l’égard de l’aide. On en veut pour preuve le fait que les dons aux ONG qui s’occupent d’aide d’urgence et de développement augmentent régulièrement même si, pour l’essentiel, ces dons répondent à des situations de crise ou à des catastrophes naturelles survenant dans des pays en développement. L’opinion publique s’interroge sur l’efficacité de l’aide mais parallèlement elle continue de la soutenir fortement.

Cependant, les problèmes de pauvreté et de développement ne sont compris que de façon très superficielle. De même, les politiques en matière de coopération pour le développement et d’aide publique au développement (APD) sont peu connues du grand public. La prise de conscience progresse grâce à l’éducation, aux campagnes de sensibilisation et au débat public, mais les médias demeurent la première source d’information sur les pays en développement. On note cependant un certain scepticisme à l’égard de la nature de cette information. Dans ce contexte, les dépenses publiques consacrées à l’enseignement et à l’information sur les programmes d’aide nationaux ont beau augmenter dans certains pays de l’OCDE, elles demeurent dans l’ensemble à des niveaux très faibles. En particulier, l’adoption des Objectifs du millénaire pour le développement n’a pas été suffisamment mise à profit pour renforcer les efforts destinés à informer et susciter l’adhésion de l’opinion publique. Le consensus mondial contre la pauvreté dont ils sont le fer de lance ne se reflète guère dans les débats publics nationaux  lesquels, à quelques exceptions près, sont relativement rares et superficiels.

Cependant, les différents sondages et études sur l’attitude de l’opinion publique envers la coopération au développement dans les pays de l’OCDE montrent que les citoyens souhaitent sans ambiguïté plus de solidarité et de justice dans le monde. Ils sont favorables à la coopération internationale pour le développement et ils seraient sans doute de précieux soutiens pour sa réforme et son amélioration s’ils étaient plus et mieux informés et s’ils pouvaient participer plus directement au débat politique. Les gouvernements, en particulier ceux qui se sont engagés à accroître leur APD, ont là une occasion d’amorcer un cercle vertueux de transparence et de réforme et de relever le défi de la lutte contre la pauvreté dans le monde.

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