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Les pouvoirs publics des pays développés ont recours depuis longtemps à des mesures visant de manière directe ou indirecte (par la biais de la fiscalité) à encourager l’ensemble de la population à se constituer un capital grâce à l’épargne, l’accession à la propriété immobilière, les fonds de pension, l’investissement dans la formation (capital humain) ou l’entreprise. Bien souvent, ces mesures ne bénéficient pas aux pauvres. En effet, l’action publique ne stimule pas l’épargne pour ces catégories, elle a même plutôt un effet dissuasif. Pourtant, ce livre montre que les pauvres ont envie d’épargner et qu'ils parviennent à mettre de côté des sommes modestes, parfois au prix de sacrifices beaucoup plus importants que ne l’imaginent les décideurs et les catégories favorisées. Élargir les politiques de constitution du patrimoine aux pauvres peut être un élément décisif dans la lutte contre la pauvreté et l’aliénation sociale et économique. En terme de bien-être social, ces politiques ont des effets que la garantie de ressources ne saurait à elle seule générer.

Cette publication fournit le contexte indispensable à un débat fructueux sur les mérites et les inconvénients de la constitution de patrimoine chez les pauvres. Elle définit les notions fondamentales sur lesquelles reposent les dispositifs de constitution de patrimoine, ainsi que les avantages qu’y voient ses tenants du point de vue de la politique sociale. Enfin, cette publication décrit des programmes et des projets concrets.

Italien, Espagnol, Anglais
  • 29 avr. 2004
  • Marc Flandreau, Frédéric Zumer
  • Pages : 152


Cet ouvrage retrace la genèse de l’intégration financière internationale au cours de la première ère « moderne » de mondialisation, de 1880 à 1913 et apporte une aide précieuse pour affronter les dilemmes auxquels sont actuellement confrontés les responsables de l’action publique. Reposant sur des données historiques, les auteurs parviennent à cette conclusion essentielle : la réussite de l’intégration financière internationale dépend finalement peu d’une simple orientation politique concernant l’opportunité d’ouvrir ou de fermer une économie aux mouvements internationaux.

Anglais
  • 25 mars 2004
  • OCDE
  • Pages : 292

TABLE DES MATIÈRES
AVANT-PROPOS
PARTIE I
Examen en matière de coopération pour le développement des États-Unis

PARTIE II
Examen en matière de coopération pour le développement du Canada

DÉFINITION DES PRINCIPAUX TERMES

PARTIE III
L'APD en quelques articles

Les dossiers du CAD rassemblent des panoramas annuels sur les politiques et les efforts de coopération pour le développement ainsi que des examens nationaux détaillés qui étaient précédemment publiés dans la Série des examens en matière de coopération pour le développement.

Ces dossiers comptent quatre numéros par an. Le premier contient le Rapport sur la coopération pour le développement, les trois autres regroupent les examens approfondis des politiques et des programmes nationaux de chaque membre du CAD.

Les dossiers réunissent, sous une forme pratique et à moindre coût, l'ensemble des analyses politiques et des données statistiques sur les programmes de coopération pour le développement.

Les dossiers du CAD offrent également une tribune à certains articles sur les questions de coopération pour le développement. Ces articles viendront s'ajouter aux examens des membres.

Anglais
  • 12 févr. 2004
  • Frank Bodmer, Silvio Borner, Markus Kobler
  • Pages : 108

La nouvelle économie institutionnelle (NEI) a, certes, une approche pluridisciplinaire des phénomènes économiques tels que la croissance, l'efficience et la distribution des revenus. Mais les auteurs de cet ouvrage tentent d’appliquer la démarche intégrée qui, jusqu'à présent, faisait défaut à ce type d’approche en analysant à la fois l’influence des institutions sur le développement économique et les facteurs qui déterminent la qualité institutionnelle. Prenant le cas de l'Argentine, ils appliquent le cadre d'analyse développé et exposé dans l'étude pour tester leurs hypothèses théoriques. Ils observent que leur concept de qualité institutionnelle et la distinction qu'ils font entre institutions économiques et institutions politiques sont validés dans la pratique. En outre, leur regard sur certaines structures institutionnelles particulières – démocratie et autocratie – et leurs réflexions sur l'influence des « traditions » juridiques et culturelles ajoutent une dimension supplémentaire à l'ouvrage qui peut prêter à controverse mais confère à l’étude une actualité stimulante.

A un moment où les gouvernements nationaux et les institutions internationales s'efforcent de trouver les moyens d'améliorer la gouvernance et d'accélérer la croissance, en particulier dans les pays pauvres, ce travail fournit des éclairages précieux aux responsables gouvernementaux et à ceux qui les conseillent. Il apporte des éléments convaincants sur la qualité institutionnelle comme facteur déterminant du développement et montre comment, précisément, la qualité institutionnelle pourrait être améliorée.
Anglais

L'investissement direct étranger (IDE) fait partie intégrante d'un système économique international ouvert et efficace et constitue l'un des principaux catalyseurs du développement. Les avantages qu’il procure ne se manifestent cependant pas de manière automatique et se répartissent inégalement entre les pays, les secteurs et les collectivités locales. Les politiques nationales et le cadre international de l'investissement jouent un rôle déterminant pour attirer des IDE vers un plus grand nombre de pays en développement. C'est aux pays d'accueil qu'il incombe de mettre en place des conditions générales, transparentes et favorables à l'investissement et de renforcer les capacités humaines et institutionnelles nécessaires pour les exploiter. 

La plupart des flux d'IDE prenant leur origine dans les pays de l'OCDE, les pays développés peuvent contribuer à la réalisation de ce programme. Ils peuvent faciliter l'accès des pays en développement à la technologie et aux marchés internationaux, et assurer plus généralement la cohérence de leurs actions en faveur du développement ; ils peuvent encourager des pays non membres de l'OCDE à intégrer plus étroitement les cadres internationaux fondés sur des règles qui sont applicables à l'investissement ; ils peuvent promouvoir activement les Principes directeurs de l'OCDE à l'intention des entreprises multinationales ainsi que les autres éléments de la Déclaration de l'OCDE sur l'investissement international ; ils peuvent enfin partager avec les non-membres l'approche mise au point par l'OCDE pour renforcer, au moyen d'examens mutuels, les capacités en matière d'investissement. 

Cette publication offre un examen complet de l'impact de l'IDE sur le développement. Elle couvre de nombreux thèmes tels que croissance économique, transfert de technologie, capital humain, concurrence, gouvernement d’entreprise et environnement. Elle examine également les politiques nécessaires pour maximiser les bénéfices. 

Anglais
  • 25 sept. 2003
  • Angus Maddison
  • Pages : 290

Cette publication fait suite à L'économie mondiale : une perspective millénaire, publié par l’OCDE en 2001. Angus Maddison y propose une vision particulièrement pénétrante de l’histoire et de l’influence politique des comptes nationaux et de la comptabilité nationale. Il montre que ces données statistiques peuvent éclairer l’observateur d’aujourd’hui ou de demain sur l’analyse de phénomènes économiques comme la croissance, la formation des marchés et la répartition des revenus. Cette approche est particulièrement intéressante pour les pays en développement. Cet ouvrage rappellera également aux pays de l’OCDE que l’action des pouvoirs publics doit, pour être couronnée de succès, reposer sur la réalité de données économiques vérifiables. …Un rapport indispensable pour tous les chercheurs et étudiants en économie et en histoire de l’économie ainsi que pour les statisticiens. Pour plus d’informations, visitez notre site : www.theworldeconomy.org.

Anglais
  • 31 mars 2003
  • OCDE
  • Pages : 252

Il ne sera possible de poursuivre la lutte contre la pauvreté dans le monde que si la « société civile » au sens large, c’est-à-dire les citoyens des pays riches, soutient activement et de façon déterminante les efforts internationaux de coopération pour le développement. La bonne volonté est là sans aucun doute. McDonnell, Solignac Lecomte et Wegimont (2003) montrent que dans les pays membres du CAD/OCDE, le soutien de l’opinion publique à l’aide consentie aux pays pauvres n’a pas faibli depuis près de vingt ans. Il n’y a pas de lassitude à l’égard de l’aide. On en veut pour preuve le fait que les dons aux ONG qui s’occupent d’aide d’urgence et de développement augmentent régulièrement même si, pour l’essentiel, ces dons répondent à des situations de crise ou à des catastrophes naturelles survenant dans des pays en développement. L’opinion publique s’interroge sur l’efficacité de l’aide mais parallèlement elle continue de la soutenir fortement.

Cependant, les problèmes de pauvreté et de développement ne sont compris que de façon très superficielle. De même, les politiques en matière de coopération pour le développement et d’aide publique au développement (APD) sont peu connues du grand public. La prise de conscience progresse grâce à l’éducation, aux campagnes de sensibilisation et au débat public, mais les médias demeurent la première source d’information sur les pays en développement. On note cependant un certain scepticisme à l’égard de la nature de cette information. Dans ce contexte, les dépenses publiques consacrées à l’enseignement et à l’information sur les programmes d’aide nationaux ont beau augmenter dans certains pays de l’OCDE, elles demeurent dans l’ensemble à des niveaux très faibles. En particulier, l’adoption des Objectifs du millénaire pour le développement n’a pas été suffisamment mise à profit pour renforcer les efforts destinés à informer et susciter l’adhésion de l’opinion publique. Le consensus mondial contre la pauvreté dont ils sont le fer de lance ne se reflète guère dans les débats publics nationaux  lesquels, à quelques exceptions près, sont relativement rares et superficiels.

Cependant, les différents sondages et études sur l’attitude de l’opinion publique envers la coopération au développement dans les pays de l’OCDE montrent que les citoyens souhaitent sans ambiguïté plus de solidarité et de justice dans le monde. Ils sont favorables à la coopération internationale pour le développement et ils seraient sans doute de précieux soutiens pour sa réforme et son amélioration s’ils étaient plus et mieux informés et s’ils pouvaient participer plus directement au débat politique. Les gouvernements, en particulier ceux qui se sont engagés à accroître leur APD, ont là une occasion d’amorcer un cercle vertueux de transparence et de réforme et de relever le défi de la lutte contre la pauvreté dans le monde.

Anglais
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