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Cet article présente des données quantitatives concernant les flux de main-d’oeuvre sur le marché du travail dans 25 pays de l’OCDE. Les enquêtes sur lesquelles il repose présentent l’avantage de fournir des informations mensuelles sur les transitions entre emploi, chômage et inactivité au niveau individuel. Entre 2005 et 2012, la probabilité annuelle de quitter son emploi était en moyenne de 10 % dans l’ensemble de la zone OCDE, tandis que la probabilité moyenne de trouver un emploi s’établissait à 30 %. L’analyse met en évidence des différences importantes entre les pays et décrit les grandes évolutions des flux de main-d’oeuvre sur le marché du travail en fonction des caractéristiques sociodémographiques et professionnelles des travailleurs ainsi que du cadre institutionnel. Elle révèle ainsi que les femmes, les jeunes, les moins qualifiés et les travailleurs à faible revenu sont les catégories les plus exposées au risque de perdre son emploi, que les jeunes sans emploi ont davantage de chances de trouver du travail que leurs homologues plus âgés, et que, parmi les personnes sans emploi, les femmes, les travailleurs peu qualifiés et les travailleurs à bas revenu présentent une moindre probabilité de retour à l’emploi.

Fueled by a burgeoning population, urbanisation and income growth, West African food demand is rapidly transforming, with striking increases in total quantities demanded, growing preference for convenience, diversification of diets towards more perishable products, and an increased concern for product quality. These changes provide great opportunities for the West African food system to increase production, value added, job creation and food security. Yet a number of structural and policy constraints continue to threaten the ability of West Africa to seize these opportunities. This paper analyses the key drivers of change and their implications on the various demands facing the food system. It then looks at how different elements of the food system respond to evolving demands, discusses the constraints to more effective responses, and finally considers some policy implications and key recommendations, particularly in the context of the ECOWAS-led efforts to develop and implement more effective regional agricultural policies.

Cet article fournit des preuves empiriques sur les effets de la taille et de la composition des dépenses publiques sur la croissance à long terme et les inégalités. Un modèle de convergence de base mesure l’effet à long terme du capital humain et de l’investissement total sur la production potentielle pour un panel de pays de l’OCDE. La composition des dépenses publiques ajoutée à ce modèle de base montre que certains postes de dépenses publiques (investissements publics et éducation) stimulent la croissance potentielle, tandis que d’autres (pensions et subventions publiques) diminuent la croissance potentielle. Il est également prouvé que des gouvernements trop importants réduisent la croissance potentielle, à moins que le fonctionnement du gouvernement soit très efficace. Cet article examine également l’effet des dépenses publiques sur les inégalités de revenus. Augmenter la taille du gouvernement, les prestations familiales ou les subventions diminue les inégalités. Les réformes rendant le gouvernement plus efficace et une réforme de l’éducation qui vise à encourager l’achèvement de l’enseignement secondaire peuvent également réduire les inégalités de revenus. Des simulations combinant les effets de croissance et de distribution montrent que la plupart des réformes peuvent générer des gains de croissance considérables et bénéficier aux pauvres.

Dans quelle mesure les déficits publics peuvent-ils augmenter sans compromettre la viabilité budgétaire? La situation macroéconomique actuelle, caractérisée par une faible croissance prolongée et de faibles taux d’intérêt, combinée à un niveau d’endettement public relativement élevé, justifie une réévaluation de cette question. Sa réponse dépend de nombreux facteurs, tels que l’état de l’économie, les antécédents budgétaires ou les projections du vieillissement de la population et leurs effets sur les dépenses gouvernementales.
Ce document utilise trois approches différentes pour mieux évaluer les marges de manoeuvre budgétaires, qui peuvent être définie de manière large comme la mesure dans laquelle la dette publique peut augmenter. Ces approches convergent vers la conclusion qu’il existe des marges de manoeuvre budgétaires dans la plupart des grandes économies avancées. Il est également prouvé que l’espace budgétaire peut avoir augmenté dans la plupart des pays de l’OCDE depuis 2014, principalement sous l’effet de la baisse des taux d’intérêt. Les réformes des programmes de santé et de retraite aideraient à créer des marges de manoeuvre budgétaires supplémentaires.

Les réformes qui visent à stimuler la croissance en misant sur une plus grande flexibilité de l’économie rencontrent souvent une forte opposition en raison des retombées négatives qu’elles font craindre pour certaines catégories de travailleurs. Cette étude explore les incidences qu’un assouplissement de la réglementation du marché du travail ou du marché des produits peut avoir sur le risque de perdre son emploi pour ceux qui en ont un et sur les chances de trouver un emploi pour ceux qui n’en ont pas. Pour cela, les auteurs utilisent des microdonnées individuelles spécialement harmonisées portant sur 26 pays de l’OCDE. Les régressions microéconométriques montrent que les réformes du marché du travail n’ont pas toute la même incidence sur les transitions professionnelles, mais que leurs effets varient en fonction du cadre institutionnel et d’autres paramètres de l’action gouvernementale. Par exemple, une protection plus souple des contrats à durée indéterminée va de pair avec une hausse des transitions vers l’emploi dans les pays où les programmes d’activation sont plus développés que la moyenne. Quant aux réformes du marché des produits, on constate qu’elles favorisent les transitions vers l’emploi, surtout chez les femmes, et qu’elles n’ont pas d’effet systématique sur les sorties, ce qui confirme leur aptitude à doper l’emploi global, comme d’autres travaux l’ont déjà démontré. Les microdonnées montrent que les travailleurs à faible potentiel de gains qui connaissent déjà, avant les réformes, des changements de situation beaucoup plus fréquents que les autres catégories sur le marché du travail, sont exposés à une hausse particulièrement forte de leur taux de rotation lorsque la réglementation du marché des produits s’assouplit. Une autre analyse micro-économétrique centrée sur les secteurs faisant l’objet de réglementations spécifiques (énergie, transports, communications) révèle que les travailleurs des secteurs strictement réglementés sont généralement mieux payés, à caractéristiques égales, que les travailleurs des autres secteurs. Considérés dans leur ensemble, les résultats de l’étude peuvent aider à améliorer la conception des réformes en soulignant notamment les avantages que présentent a) des mesures axées sur la complémentarité entre les réformes du marché des produits et du marché du travail, b) des programmes actifs du marché du travail efficaces pour venir en aide aux travailleurs les plus vulnérables, et c) des réformes de grande envergure plutôt que des systèmes de compensation limités à certains secteurs.

Pour comprendre l’économie politique d’une réforme réglementaire, il est important de savoir qui seront les gagnants et qui seront les perdants. À partir de microdonnées recueillies dans 26 pays, cet article étudie les incidences que la déréglementation des industries de réseau – une priorité de l’action publique dans de nombreux pays avancés – peut avoir sur la situation des travailleurs employés dans ce secteur. Les effets sont estimés sur la base des variations observées au niveau des salaires, des flux de main-d’oeuvre et de la réglementation. Les principaux résultats de l’analyse montrent que, dans les industries de réseau, la réglementation se traduit par une prime de salaire et une plus grande stabilité de l’emploi que dans les autres secteurs. La déréglementation tend donc à aligner vers le bas les revenus salariaux et le niveau de stabilité de l’emploi des travailleurs concernés, qui sont les perdants de la réforme puisqu’ils ne bénéficient plus du surcroît de salaire et de stabilité dont ils jouissaient auparavant dans leur emploi.

La facilité d’entrée sur les marchés de l’électricité est cruciale pour leur bon fonctionnement. Ce rapport étudie les schémas d’entrée dans le segment « production » du secteur de l’électricité dans les pays de l’OCDE, et s’efforce d’en élucider les principaux déterminants. Il vise à en tirer les conséquences pour la conception de politiques destinées à stimuler la concurrence en tenant compte d’objectifs ambitieux concernant les énergies renouvelables. L’analyse s’intéresse principalement aux investissements dans les moyens de production électrique renouvelables de tous les pays de l’OCDE sur la période 1990-2007. Des hypothèses tirées d’une revue de la littérature sont testées empiriquement en appliquant divers modèles économétriques à des jeux de données de panel provenant, pour l’essentiel, de la base de données World Electric Power Plant Database de l’Utility Data Institute (UDI). Les résultats obtenus permettent de conclure que de nombreux facteurs affectent la probabilité d’entrée sur le marché et le volume de ces entrées dans la production d’électricité renouvelable au niveau régional, notamment la réglementation du secteur, les politiques de soutien aux renouvelables, l’innovation, l’expansion sectorielle et la part de puissance installée reposant sur les renouvelables dans le pays concerné. Enfin, il apparaît que certains facteurs au niveau microéconomique, par exemple la taille de l’entreprise, son expérience dans le domaine des énergies renouvelables ou le fait qu’elle soit ou non une compagnie d’électricité, exercent une influence considérable sur les investissements au niveau des entreprises et les décisions d’entrée.

Les réformes visant à accroître la flexibilité des marchés sont-elles porteuses d’instabilité en matière d’emploi ? À l’aide de données individuelles tirées d’enquêtes harmonisées menées auprès des ménages dans 26 pays avancés, cet article analyse les effets que peuvent avoir les réformes du marché du travail et du marché des produits sur les transitions professionnelles. Les résultats montrent que les réformes qui améliorent la compétitivité des marchés de produits augmentent les pertes d’emploi parmi les travailleurs peu qualifiés et à bas salaire, dont les taux de sortie, déjà élevés au départ, le sont encore plus à l’arrivée. D’un autre côté, une réglementation plus favorable à la concurrence sur les marchés de produits se traduit généralement par une hausses des taux d’accès à l’emploi. La concentration sur certaines catégories de travailleurs, en l’occurrence les moins qualifiés et les moins bien rémunérés, de l’augmentation du taux de rotation de la main-d’oeuvre associé aux réformes des marchés de produits plaide en faveur de la mise en place, en complément de ces réformes, de programmes du marché du travail visant à faciliter le retour à l’emploi des travailleurs les plus vulnérables. L’assouplissement des mesures de protection de l’emploi permanent ou temporaire n’a pas d’effet systématique à long terme sur la probabilité de passer du chômage à l’emploi ou inversement. Ce type de réforme peut toutefois avoir une incidence sur les transitions professionnelles de par ses interactions avec d’autres politiques et institutions. On s’aperçoit ainsi qu’une protection moins stricte des contrats à durée indéterminée augmente les chances de trouver un emploi dans les pays où les programmes actifs du marché du travail sont très développés. De plus, la complémentarité de la législation sur la protection de l’emploi et de la réglementation des marchés de produits fait que l’assouplissement de l’une permet de réformer l’autre en réduisant les pertes d’emploi.

Pour étudier la façon dont les finances publiques pourraient être mieux conçues pour promouvoir la croissance à long terme et remédier aux inégalités, il est essentiel d'avoir des données complètes et comparables entre les pays sur les dépenses et les recettes publiques, ainsi que des indicateurs structurels et politiques. En identifiant les variables clés des finances publiques parmi autant de pays de l'OCDE que possible, et avec une dimension temporelle pour permettre une analyse longitudinale, la base de données de finances publiques de l’OCDE fournit des données détaillées pour contribuer à un débat fondé sur les faits au sujet des politiques budgétaires favorisant la croissance et de l'égalité. Les caractéristiques de groupes de pays et de profils de finances publiques par pays sont mises en avant comme des exemples du potentiel de ces données pour fournir un éclairage sur les politiques budgétaires.

This paper exploits the rich dataset collected in the context of the 2014 Regulatory Indicators Survey to analyse how countries put in place the building blocks of their regulatory policy systems. It complements the 2015 OECD Regulatory Policy Outlook by systematically examining country practices in the areas of regulatory impact assessment, stakeholder consultation and ex post evaluation of regulations. In particular, it seeks to inform discussions about the sequencing of measures in implementing policy in these three areas, through the adoption of legal requirements, the development of appropriate methodology, the establishment of transparency mechanisms and of oversight and quality control. In order to provide concrete illustration and lay the ground for practical reform advice, the paper identifies groupings of countries around the emphasis they put on each of these tools.

La présente étude examine l’effet des mécanismes d’incitation rassemblés dans le Funding for Lending Scheme (FLS) sur l’évolution des volumes de prêt des banques aux petites et moyennes entreprises (PME) britanniques. Le FLS a été lancé en juin 2012 par la Banque d’Angleterre et le Trésor britannique dans le but d’améliorer l’offre de crédit pour l’économie réelle au Royaume-Uni. Malgré le niveau généralement bas des taux d’intérêt sans risque à l’époque, les banques britanniques faisaient face à des coûts de financement élevés au moment de la mise en place du dispositif, et l’intention était d’ouvrir aux établissements prêteurs une source stable de financement à meilleur marché pour appuyer la fourniture de crédit à l’économie réelle. La conception du FLS intégrait des mécanismes directs d’incitation à soutenir l’économie réelle, qui liaient le prix et la quantité des ressources mises à la disposition des établissements aux volumes de prêts consentis par ces derniers. Cette étude vise à trouver des preuves de l’effet de ces mesures d’incitation, en s’attachant en particulier à leur impact après la redéfinition et l’extension du dispositif en avril 2013 pour mettre en évidence les évolutions de l’offre de crédit liées à la demande de crédit. La modification du dispositif intensifiait spécifiquement l’incitation à prêter aux PME par opposition aux grandes entreprises. Cette réorientation facilite l’utilisation d’une méthode d’estimation par différences de différences et la recherche, à partir des données par établissement pour les groupes bancaires britanniques, d’un effet direct des incitations sur l’offre de crédit, les grandes entreprises étant prises comme groupe de contrôle. L’ensemble de données disponible ne permet pas de déterminer que ce changement dans la structure des incitations du FLS a directement renforcé la croissance des prêts aux PME par rapport aux prêts aux grandes entreprises entre le moment de l’extension du dispositif et la fin de 2013. Ces résultats ne semblent pas varier même lorsque l’on utilise d’autres mesures de l’offre de crédit. Cependant, la série de données est inévitablement petite, tant par le nombre de prêteurs couverts que par la période examinée, après la réorientation ; et, plus généralement, la baisse répétée des coûts de financement sur le marché pour les prêteurs depuis la mise en place du FLS a pu amoindrir l’intérêt d’un recours au dispositif pour les banques et, partant, l'impact des mécanismes d'incitation qu'il contenait.

This paper examines the impact of tax and benefit systems on the incentives for second earners to enter formal employment. The paper highlights how various tax design features create greater participation disincentives for second earners than for primary earners or single individuals. As second earners in OECD countries are more often women, these greater disincentives create significant gender-equity concerns. As second earners are also typically highly responsive to work disincentives, these features are likely to negatively impact economic growth. These disincentives stem from a range of policies including the choice of family-based rather than individual-based taxation, the use of dependent spouse tax credits and allowances, and the use of tax credits and benefits based on family rather than individual income. Reform options to address these issues will depend on countries’ existing tax policy design choices. For countries where individual-based taxation is combined with some family-based provisions, reform of these family-based provisions to lessen their impact on second earner work disincentives may be warranted. For countries with family-based tax systems, the introduction of some individual-based provisions could be considered to mitigate the negative effects of family-based taxation on second earner work incentives.

The 2030 Agenda for Sustainable Development with the Sustainable Development Goals at its core calls to “(…) increase aid-for-trade support for developing countries, in particular least developed countries.” This call echoes a similar appeal in the Addis Ababa Action Agenda of the Third International Conference on Financing for Development. In response, the OECD Action Plan on the Sustainable Development Goals: Better Policies for 2030 also argues for further promoting aid for trade and ensuring that it supports the achievement of the Sustainable Development Goals. This paper discusses how aid for trade can contribute to these goals. It argues that the Aid-for-Trade Initiative already takes an integrated and multi-dimensional approach to promoting trade, economic growth and poverty reduction. Aid-for-trade programmes are critical to turn trade opportunities into trade flows, but more is needed to make trade an engine for green growth and poverty reduction for both men and women. International companies are already increasing their financial and technical contribution to building trade-related capacities in developing countries. Strengthening private sector engagement further could be achieved by expanding platforms for project-based collaboration that create multi-stakeholder value. Such approaches will better facilitate trade for development and strengthen the contribution of aid for trade to the 2030 Sustainable Development Agenda.

This report assesses ports policies in Chile. Highly dependent on maritime trade, the quality of Chile’s ports has a direct impact on the country’s economy. The report offers a series of recommendations intended to help further develop Chile’s ports policies. It is based on a thorough assessment of current port performance, an analysis of the bottlenecks that would need to be resolved to increase performance, and takes into account good international practices.

This report is part of the International Transport Forum’s Case-Specific Policy Analysis series. These are topical studies on specific issues carried out by the ITF in agreement with local institutions.

Le Programme international de l’OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA) est devenu la référence mondiale dans le domaine de l’évaluation de la qualité, de l’équité et de l’efficience des systèmes d’éducation. Cette édition spéciale de la série PISA à la loupe présente les résultats des deux premiers volumes du rapport initial de l’enquête PISA 2015 : L’excellence et l’équité dans l’éducation; et Politiques et pratiques pour des établissements performants.

Anglais

Over the past decade, the OECD Programme for International Student Assessment, PISA, has become the world’s premier yardstick for evaluating the quality, equity and efficiency of school systems. This special issue of the PISA in Focus series highlights the results of the first two volumes of the PISA 2015 initial report: Excellence and Equity in Education; and Policies and Practices for Successful Schools.

Français

Work-based learning can provide a bridge into careers and its potential benefits are particularly noticeable for youth at risk – those most likely to face difficulties in accessing jobs and learning opportunities. If this potential is to be fully realised, work-based learning programmes must be attractive to employers. Achieving this requires a closer look at the costs and benefits for employers when they offer work-based learning. This paper looks at tools designed to help get employers on board for work-based learning, with an emphasis on work-based learning for youth at risk. International experience suggests that financial incentives, such as subsidies and tax breaks are not the answer. Attention should be focussed instead on non-financial measures that improve the cost-benefit balance of apprenticeship to employers. These include adjusting key parameters of apprenticeship schemes, better preparing youth at risk for apprenticeship and providing support (e.g. remedial courses, mentoring) to youth at risk during apprenticeship.

There is a growing literature providing evidence that not only cognitive skills but also non-cognitive skills are important for economic and social outcomes. This paper assesses the measurement properties of the Big Five and Grit scales in a large representative sample of adults in Poland. The data from the Polish Follow-up Study on the Programme for International Assessment of Adult Competencies (postPIAAC) include longitudinal information on PIAAC respondents in Poland and additional background information not available in the international study. The results presented in this paper show that not all the criteria concerning the reliability, validity and comparability of these scales have been satisfied, though the personality measures significantly contribute to explaining the variability in policy-relevant outcomes. Most of the questions discriminate well between people possessing a high and a low level of a given trait, though reverse-worded items perform weaker. The Big Five theoretical five-factor structure was not replicated; however, a six-factor model with an additional factor loading reverse-worded items fits the data. In case of Grit, a bi-factor model, which has an equivalent interpretation to the second-order theoretical structure, holds. The scales are not fully measurement invariant. The results confirm earlier findings from the literature that differences in personality traits are clearly associated with differences in life outcomes. For most of the outcomes, the Big Five traits outperform cognitive skills in predictive power. Only educational attainment is more strongly related to cognitive skills, while for wages, the predictive power of personality and cognitive skills is similar. The paper provides recommendations for incorporating measures of personality traits into competence surveys.

In this paper, we aim to bring the debate on the global productivity slowdown – which has largely been conducted from a macroeconomic perspective – to a more micro-level. We show that a particularly striking feature of the productivity slowdown is not so much a lower productivity growth at the global frontier, but rather rising labour productivity at the global frontier coupled with an increasing labour productivity divergence between the global frontier and laggard (non-frontier) firms. This productivity divergence remains after controlling for differences in capital deepening and mark-up behaviour, suggesting that divergence in measured multi-factor productivity (MFP) may in fact reflect technological divergence in a broad sense. This divergence could plausibly reflect the potential for structural changes in the global economy – namely digitalisation, globalisation and the rising importance of tacit knowledge – to fuel rapid productivity gains at the global frontier. Yet, aggregate MFP performance was significantly weaker in industries where MFP divergence was more pronounced, suggesting that the divergence observed is not solely driven by frontier firms pushing the boundary outward. We contend that increasing MFP divergence – and the global productivity slowdown more generally – could reflect a slowdown in the diffusion process. This could be a reflection of increasing costs for laggard firms of moving from an economy based on production to one based on ideas. But it could also be symptomatic of rising entry barriers and a decline in the contestability of markets. We find the rise in MFP divergence to be much more extreme in sectors where pro-competitive product market reforms were least extensive, suggesting that policy weaknesses may be stifling diffusion in OECD economies.

The challenge of providing more and better education with tightening public budgets has made governments increasingly interested in the efficient allocation of education resources. Results from the OECD Programme for International Student Assessment (PISA) show that, among countries with a comparatively high gross domestic product (GDP) per capita, the amount spent on education is less important than how those resources are used.
Français
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