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El presente análisis se centra en las acciones inmediatas que pueden adoptar los distintos gobiernos con el fin de asegurarse de que las medidas excepcionales implementadas ante la crisis causada por el coronavirus (COVID-19) no echen por tierra sus esfuerzos por encontrar una solución eficaz a los problemas medioambientales más apremiantes, si no por el contrario mejoren la salud ambiental y la resiliencia de las sociedades.
L’objet de cette note est de montrer ce que les pays peuvent faire dès maintenant pour éviter que les mesures d’urgence adoptées face à la crise du coronavirus (COVID-19) ne viennent saborder les efforts qu’ils ont engagés pour s’attaquer aux enjeux environnementaux pressants de notre époque et améliorer la santé de l’environnement et la résilience des sociétés.
Dans le monde actuel, les environnements d’apprentissage multiculturels constituent à la fois un défi et une richesse pour les pays concernés. Les systèmes éducatifs jouent un rôle essentiel dans l’intégration des élèves issus de différents milieux culturels et ethniques, mais ils devraient également faire en sorte que tous les élèves accordent de l’importance à la diversité et contribuent à faire émerger une société diverse et inclusive en tant que citoyens du monde. Les questions de l’Enquête TALIS 2018 sur la diversité portent sur le contexte des expériences vécues par les élèves dans les établissements scolaires et les salles de classe. Par conséquent, ces données permettent de comparer les capacités dont disposent les enseignants et les établissements scolaires pour atteindre ces objectifs et compléter les travaux existants sur les résultats et les réussites des élèves. Les renseignements tirés de ces données sont uniques puisqu’ils permettent de combler des lacunes majeures dans l’élaboration des politiques d’enseignement.
L’investissement est indispensable pour rendre le secteur du tourisme compétitif et durable. Ce rapporte examine les approches politiques efficaces pour accroître la qualité et l’efficacité des investissements dans le tourisme. Il passe en revue les conditions favorables et les obstacles à la promotion des investissements susceptibles de favoriser une croissance du tourisme durable et inclusive. Les considérations de politique générale visant à encourager des investissements de qualité dans le tourisme sont abordées, notamment l’importance de la coordination intergouvernementale, l’utilisation de stratégies permettant de maximiser la qualité et l’impact des investissements touristiques, l’intégration de la durabilité dans les cadres décisionnels en matière d’investissement et le renforcement des capacités des investissements touristiques dans une économie numérique. Des études de cas sur l’'investissement dans un certain nombre de pays sont présentées pour appuyer la discussion sur les politiques à mener.
Ces dix prochaines années, un pourcentage croissant de jeunes adultes devraient obtenir un diplôme de l’enseignement tertiaire, la Chine et l’Inde caracolant en tête – en particulier dans les domaines en plein essor et extrêmement porteurs des STIM. Cependant, si dans les pays de l’OCDE et du G20, le pourcentage de diplômés de l’enseignement tertiaire devrait augmenter davantage chez les femmes que chez les hommes, celles-ci pourraient néanmoins continuer de rester en retrait dans les domaines des STIM, où elles ont toujours été sous-représentées. Dans un avenir proche, le défi consistera à garantir que les systèmes d’éducation sont en mesure de délivrer des diplômes de l’enseignement tertiaire d’une qualité et d’une pertinence optimales, dans un souci constant d’équité et d’inclusivité.
Les résultats de l’Évaluation des compétences des adultes confirment qu’il existe un lien fort entre le niveau de performance en littératie et la fréquence des mères adolescentes. Les pays où ce lien est le plus fort pourraient encourager davantage la prévention et l’accompagnement des grossesses avant 20 ans au sein des populations les plus exposées. Ces actions sont d’autant plus cruciales qu’il s’agit non seulement de protéger les adolescentes les plus fragiles mais aussi les enfants à naître contre les conséquences à long terme de ces naissances précoces.
45% der Flüchtlinge in Europa sind Frauen. Über ihre Integrationsergebnisse und die spezifischen Herausforderungen, mit denen sie konfrontiert sind, ist jedoch nur wenig bekannt. In diesem Bericht werden frühere Forschungsarbeiten zur Integration weiblicher Flüchtlinge, sowohl im Vergleich zu männlichen Flüchtlingen als auch zu anderen Migrantinnen, zusammengefasst. Darüber hinaus werden neue Vergleichsdaten aus aus-gewählten europäischen und nichteuropäischen OECD-Ländern präsentiert. Weibliche Flüchtlinge sind einer Reihe von besonderen Integrationsherausforderungen ausgesetzt. So sind ihre Gesundheits-, Bildungs- und Arbeitsmarktergebnisse beispielsweise ungünstiger als die männlicher Flüchtlinge, die ihrerseits bereits gegenüber anderen Migrantengruppen benachteiligt sind. Zudem ist bei geflüchteten Frauen ein Jahr nach der Ankunft im Aufnahmeland eine Geburtenspitze zu beobachten. Viele weibliche Flüchtlinge kommen aus Ländern, in denen erhebliche Ungleichheiten zwischen Männern und Frauen herrschen und die Frauenerwerbstätigkeit im Allgemeinen gering ist. Allerdings besteht nur eine geringe Korrelation zwischen den Indikatoren der geschlechtsspezifischen Differenzen bei Erwerbsbeteiligung und Beschäftigung in den Herkunfts- und den Aufnahmeländern. Dies lässt den Schluss zu, dass die Integrationsherausforderungen durch beschäftigungs- und bildungspolitische Maßnahmen im Aufnahmeland bewältigt werden können. Der Bericht stellt außerdem fest, dass die Förderung des Erwerbs grundlegender Kompetenzen (Bildungsniveau, Sprache des Aufnahmelandes) zu deutlich verbesserten Arbeitsmarkt-ergebnissen führt. Ferner ist ein generationsübergreifender positiver Effekt auf die Kinder von Flüchtlingsfrauen zu beobachten. Daher scheinen strukturierte Integrations-programme, wie sie in den skandinavischen Ländern angeboten werden, eine lohnende Investition zu sein.
Les enseignants constituent la ressource scolaire principale. Dans tous les pays, leur salaire et leur formation représentent la part la plus importante des dépenses d’éducation – un investissement par ailleurs susceptible d’avoir des rendements considérables. Les travaux de recherche montrent ainsi que le fait de recevoir leur instruction des meilleurs enseignants peut avoir une réelle incidence sur la réussite scolaire et personnelle d’élèves par ailleurs similaires.
Toutefois, tous les élèves ne sont pas égaux en termes d’accès à un enseignement de qualité. Les données de l’enquête PISA révèlent ainsi l’existence, dans de nombreux pays, d’inégalités d’accès à des enseignants expérimentés et qualifiés, ainsi que la relation de ces inégalités avec les écarts de résultats d’apprentissage entre élèves favorisés et défavorisés.
Les institutions supérieures de contrôles et les parlements ont un rôle important à jouer pour que les gouvernements rendent compte de leur usage des fonds publics. Les parlements s'appuient sur les travaux professionnels et objectifs des institutions supérieures de contrôle pour leur fournir l'information sur l'utilisation faite des ressources publiques. Cependant, les parlements n'utiliseront les travaux des institutions supérieures de contrôle que si ces travaux sont intéressants et pertinents.
Le rapport de SIGMA offre une analyse comparative sur la manière dont les institutions supérieures de contrôle et les parlements ont développé des relations de travail efficaces dans les pays de l'Union Européenne (UE) et dans les pays candidats et candidats potentiels à l'UE. Il décrit les attentes qui existent au regard de l'établissement de relations de travail efficaces ainsi que les facteurs-clefs et les thèmes qui conditionnent cette efficacité. Il détaille également des orientations aux institutions supérieures de contrôle et aux parlements susceptibles de rendre efficaces leurs relations de travail. Il présente, en outre, une boîte à outils pour renforcer ces relations de travail.
Parmi les 25-34 ans diplômés de l’enseignement tertiaire, le pourcentage de ceux au moins titulaires d’un master ou d’un diplôme de niveau équivalent varie de 4 % au Chili à 79 % en République slovaque. Le niveau de formation des diplômés de l’enseignement tertiaire varie aussi entre les générations : alors que 49 % des 25-34 ans diplômés de l’enseignement tertiaire sont au plus titulaires d’une licence ou d’un diplôme de niveau équivalent, ce pourcentage tombe à 39 % chez les 55-64 ans. Les perspectives d’emploi tendent à s’améliorer avec l’élévation du niveau de formation tertiaire : parmi les 25-34 ans diplômés de l’enseignement tertiaire, le taux d’emploi moyen s’établit ainsi à 88 % chez les titulaires d’un doctorat, à 84 % chez les titulaires d’un master ou d’un diplôme de niveau équivalent, et à environ 80 % chez ceux au plus titulaires d’un diplôme tertiaire de cycle court ou d’une licence. Dans certains pays, toutefois, l’élévation du niveau de formation tertiaire n’est pas associée à une amélioration des perspectives d’emploi chez les 25-34 ans, à l’exception des titulaires d’un doctorat. Dans d’autres pays, les titulaires d’un diplôme tertiaire de cycle court sont plus susceptibles d’occuper un emploi que les titulaires d’une licence.
Les stratégies de lutte contre la faim et les systèmes d'alerte précoce se concentrent souvent sur les zones rurales et l'identification des crises alimentaires, plutôt que sur les tendances à plus long terme. Les données sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations urbaines, en forte croissance, sont rares et parcellaires. En utilisant les informations géoréférencées des Enquêtes démographiques et de santé (EDS), cette Note estime le nombre total et la prévalence de la sous-nutrition et de la surnutrition en Afrique de l'Ouest aussi bien en milieu rural qu’urbain. L'analyse révèle que près de 110 millions de personnes en Afrique de l'Ouest n’ont pas une alimentation adéquate à leurs besoins nutritionnels. Plus de 58 millions de personnes souffrent d'insuffisance pondérale, dont 22 millions en ville. Les autres 52 millions sont en surpoids ou obèses, dont la grande majorité sont des citadins de plus de 15 ans. Ces résultats montrent la gravité du «double fardeau» de la sous-nutrition et surnutrition et appellent à renouveler les efforts en matière de développement d’outils de suivi de la sécurité alimentaire et nutritionnelle en milieu urbain.
D’après les données de l’enquête PISA, en moyenne, dans les pays de l’OCDE, trois élèves sur quatre se situant dans le quartile inférieur du statut socio-économique n’atteignent au mieux que le niveau de compétence de base (niveau 2) en compréhension de l’écrit, en mathématiques ou en sciences. Cependant, en Allemagne, au Canada, en Corée, au Danemark, en Estonie, en Finlande, à Hong-Kong (Chine), en Irlande, au Japon, en Norvège, aux Pays-Bas, à Singapour, en Slovénie et au Viet Nam, plus de 30 % des élèves défavorisés atteignent au moins le niveau 3 de compétence dans l’ensemble des domaines d’évaluation de l’enquête PISA 2015 – et peuvent donc être considérés comme « résilients sur le plan scolaire ».
Au niveau 3 de compétence, les élèves commencent à faire preuve de capacités à : dégager la signification d’un texte et parvenir à une compréhension détaillée à partir de multiples fragments indépendants d’information en compréhension de l’écrit ; établir des relations proportionnelles et se livrer à une interprétation et un raisonnement simples dans le cadre de la résolution d’un problème mathématique ; et appréhender des sujets qui ne leur sont pas familiers en sciences – autant de compétences au fondement de la réussite et de la poursuite de l’apprentissage tout au long de la vie.
D’après les données collectées sur une période de dix ans dans le cadre de l’enquête PISA (en 2006, 2009, 2012 et 2015), plusieurs pays sont parvenus à accroître le pourcentage d’élèves résilients sur le plan scolaire parmi ceux se situant dans le quartile inférieur du statut socio-économique.
Entre 2012 et 2022, les compétences en littératie des individus en âge de travailler dans les pays participant à l’Évaluation des compétences des adultes (PIAAC) devraient s’améliorer, principalement en raison du faible niveau relatif des compétences des cohortes qui atteindront 65 ans d’ici 2022 et du niveau de compétences en littératie beaucoup plus élevé parmi le groupe d’âge entrant. Les pays participants récoltent les lointains bénéfices des efforts qu’ils ont réalisés en matière d’éducation depuis les années 1970. Ce que ces données montrent, c’est qu’une scolarité de grande qualité ne suffira pas à elle seule à améliorer la qualité de la main-d’oeuvre aussi rapidement qu’augmentent les besoins en compétences. Les gouvernements doivent donc redoubler d’efforts pour faire de l’apprentissage tout au long de la vie une réalité pour tous.
- Dans les pays de l’OCDE, la taille moyenne des classes dans le premier cycle de l’enseignement secondaire s’établit à 23 élèves. On constate cependant des différences significatives entre les pays, les classes comptant plus de 32 élèves en Corée et au Japon, contre 19 ou moins en Estonie, en Islande, au Luxembourg, au Royaume-Uni et en Slovénie.
- La taille des classes, conjuguée au temps d’instruction des élèves, au temps d’enseignement des enseignants et au salaire de ces derniers, constitue l’une des variables clés sur lesquelles les décideurs peuvent jouer pour maîtriser les dépenses d’enseignement. Entre 2000 et 2009, de nombreux pays ont consenti des investissements plus élevés pour diminuer la taille des classes ; or la performance des élèves ne s’est améliorée que dans un petit nombre d’entre eux.
- La réduction de la taille des classes ne saurait, à elle seule, suffire à améliorer la performance des systèmes d’éducation. Cette mesure est également moins efficace que ne l’est l’amélioration de la qualité de l’enseignement.
- L’obtention d’un diplôme du deuxième cycle du secondaire (niveau CITE 3) est devenue la norme chez les jeunes des pays de l’OCDE. À l’heure actuelle, ce niveau de formation est considéré comme le minimum requis pour une intégration réussie sur le marché du travail et dans la société.
- Selon les données de 2010, dans les pays de l’OCDE, 19.1 % des jeunes âgés de 25 à 34 ans dont le niveau de formation est inférieur au deuxième cycle du secondaire sont sans emploi, contre 9.8 % des jeunes du même groupe d’âge diplômés du deuxième cycle du secondaire.
- Depuis 2004 jusque 2008, l’augmentation des taux d’obtention d’un diplôme du deuxième cycle du secondaire a coïncidé avec la diminution du nombre de jeunes âgés de 20 à 24 ans non scolarisés et sans emploi ; mais face à la crise économique, un diplôme du deuxième cycle du secondaire ne constitue plus une assurance suffisante contre le chômage et la pauvreté.