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Au cours de ces trois dernières années, les multiples crises mondiales et l’impératif de plus en plus urgent de limiter le changement climatique ont mis les modèles actuels de coopération pour le développement à rude épreuve, sans doute la plus rude depuis des décennies. L’objectif d’un monde meilleur pour tous semble plus difficile à atteindre, compte tenu des nouvelles tensions budgétaires, de l’impératif de fournir des biens publics régionaux et mondiaux, des besoins humanitaires exacerbés et des contextes politiques toujours plus complexes. La critique des racines, de la motivation et du fonctionnement du système international de l’aide se traduit par des appels à un changement radical, qui se manifeste, par exemple, dans les mouvements visant à s’attaquer à l’héritage colonial et au racisme dans ce secteur.

Cette édition du rapport Coopération pour le développement, qui marque son 60e anniversaire, dresse un état des lieux de ces défis, et propose des pistes à suivre pour l’avenir selon quatre lignes d’action : honorer les engagements, financiers et autres, déjà pris, soutenir une transformation pilotée à l’échelon local dans les pays partenaires, moderniser les modèles d’activité et pratiques de gestion financière, et rééquilibrer les relations de pouvoir dans la prise de décisions et les partenariats à l’échelle internationale. Ce rapport s’appuie sur les réflexions de chefs d’État, de dirigeants d’organisations internationales, de praticiens, d’universitaires et de la société civile, en mettant particulièrement l’accent sur les voix qui représentent des expériences variées et des points de vue de pays à revenu faible ou intermédiaire et de leurs populations.

Anglais

Le rapport COVID-19 et bien-être – La vie en temps de pandémie étudie les conséquences immédiates de la pandémie sur la vie et les moyens de subsistance des populations des pays de l’OCDE. Il suit l’évolution du bien-être – depuis les emplois et les revenus jusqu’aux liens sociaux, en passant par la santé, l’équilibre entre travail et vie privée, la sécurité et plus encore – à l’aide de données recueillies au cours des 12 à 15 premiers mois de la crise sanitaire. Il fait également le point sur le capital humain, économique, social et naturel, lequel, au-delà de ses effets sur la vie des individus aujourd’hui, façonne les conditions de vie dans les années à venir. Il illustre les profondes répercussions de la crise sanitaire sur la façon dont nous vivons, dont nous travaillons et dont nous échangeons les uns avec les autres, et montre à quel point la pandémie est perçue différemment selon que l’on travaille ou non, selon le lieu où l’on travaille, selon le sexe, l’âge, l’origine ethnique et raciale, ou encore selon le niveau de formation et de revenu. Le rapport examine également le rôle que les données sur le bien-être peuvent jouer à l’appui des efforts de relance des pouvoirs publics dans le contexte de la pandémie. Il montre qu’étudier la situation à travers le prisme du bien-être peut inciter les responsables publics à recentrer leur action sur les aspects qui comptent le plus pour les citoyens, à repenser le contenu des politiques dans une perspective plus multidimensionnelle, à réaligner les pratiques du secteur public en s’affranchissant des cloisonnements au sein des administrations et à reconnecter les individus aux institutions publiques qui les servent.

Anglais

Chile ha emprendido un ambicioso camino hacia una nueva constitución. Para cualquier país, la redacción de una nueva constitución o la enmienda de la existente es un reto estimulante, pero a su vez un proceso exigente tanto desde el punto de vista político como técnico. Este informe presenta los resultados de un ejercicio comparado realizado por la OCDE de posibles provisiones constitucionales que refleja experiencias de los países miembros de la OCDE. Los ámbitos tratados incluyen los derechos económicos y sociales, el sistema de gobierno, la gobernanza multinivel, la revisión constitucional, la gobernanza fiscal y el papel y funcionamiento de los bancos centrales.

Anglais
  • 10 nov. 2020
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 300

À l’heure où de nombreux pays de la région MENA cherchent à accélérer leur croissance économique et à construire des sociétés plus stables et plus ouvertes, ce rapport soutient qu’une plus grande autonomisation économique des femmes est l’une des clés pour atteindre ce double objectif. Il affirme qu’en dépit des difficultés rencontrées par certains pays pour garantir aux femmes un accès égal aux opportunités économiques, des progrès sont en cours et peuvent être renforcés par des actions politiques ciblées, inclusives et coordonnées. S’appuyant sur les conclusions d’un premier rapport de suivi publié en 2017, le présent rapport analyse les réformes législatives, politiques et institutionnelles récentes en faveur de l’autonomisation économique des femmes en Égypte, en Jordanie, au Maroc et en Tunisie et cherche à identifier les facteurs de réussite qui ont contribué à ancrer ces réformes. Il fournit par ailleurs des exemples concrets et des outils pratiques à l’intention des décideurs politiques pour les aider à transformer les politiques publiques en actions efficaces pour l’autonomisation économique des femmes.

Arabe, Anglais
  • 12 juin 2020
  • OCDE
  • Pages : 268

Comment va la vie ? indique si les conditions d'existence s'améliorent pour les habitants de 37 pays de l'OCDE et de 4 pays partenaires. Cette cinquième édition présente les derniers enseignements tirés d'un ensemble actualisé de plus de 80 indicateurs, couvrant le bien‑être actuel, les inégalités et les ressources nécessaires au bien‑être futur. Depuis 2010, le bien‑être des individus s'est renforcé à de nombreux égards, mais les progrès accomplis ont été lents ou la situation s'est dégradée dans d'autres dimensions, notamment concernant les liens entre individus et leurs relations avec les pouvoirs publics. D'amples écarts perdurent en fonction du sexe, de l'âge et du niveau d'éducation dans la plupart des dimensions du bien‑être. Globalement, les pays de l'OCDE où le niveau moyen de bien‑être est le plus élevé se caractérisent aussi par une plus grande égalité entre groupes de population et un nombre plus limité de personnes en situation de privation. Nombre de pays de l'OCDE où les niveaux de bien‑être étaient les moins élevés en 2010 figurent parmi ceux où ils ont le plus progressé depuis lors. Néanmoins, les améliorations du bien‑être actuel ne sont pas toujours allées de pair avec des progrès concernant les ressources nécessaires à la préservation du bien‑être dans le temps, des signes alarmants se faisant jour pour le capital naturel, humain, économique et social. Au‑delà d'une analyse globale de l'évolution du bien‑être depuis 2010, ce rapport offre une analyse approfondie des 15 dimensions de l'Initiative du Vivre mieux de l'OCDE, notamment de l'état de santé des individus, de leur bien‑être subjectif, de leurs liens sociaux et du capital naturel, entre autres, et présente les résultats de chaque nation dans des profils par pays.

Anglais

Cómo medir la transformación digital. Hoja de ruta para el futuro ofrece nuevas perspectivas sobre el estado de la transformación digital al delinear indicadores de una amplia gama de áreas (desde educación e innovación hasta comercio y efectos sociales y económicos) comparadas con asuntos vigentes de política digital, según se presentó en Going Digital: Shaping Policies, Improving Lives. Al hacerlo así, se identifican vacíos en el actual marco de medición, se evalúa el progreso logrado para llenar estas brechas y se establece una hoja de ruta de cara al futuro. El propósito es ampliar las evidencias disponibles como un medio de definir políticas públicas más robustas de crecimiento y bienestar en la era digital.

Anglais

Lorsque les États membres des Nations Unies ont approuvé l’Agenda 2030 pour le développement durable en 2015, ils ont convenu que les objectifs et les cibles du développement durable devaient être atteints pour toutes les nations et tous les groupes de la société. Les gouvernements et les autres parties prenantes de l’agenda 2030 assument ainsi l'ambition de ne laisser personne de côté. Cette ambition apparaît de plus en plus souvent dans les politiques de développement, les priorités de la communauté internationale et les actions de plaidoyer de la société civile.
 
Comment garantir, dans les faits, que personne ne soit laissé de côté ? Les décideurs politiques, la société civile et les entreprises demandent plus de clarté. Concrètement, qu’est-ce que cela implique pour la conception et la mise en œuvre des politiques économiques, sociales et environnementales ? Comment adapter les politiques de coopération au développement, la programmation et les mécanismes de responsabilisation ? Qu'est-ce que les gouvernements, les partenaires au développement et la communauté internationale devraient faire différemment pour que la poursuite des objectifs de développement durable améliore la vie de tous, et en premier lieu celle des plus défavorisés ?
 
Le Rapport Coopération pour le développement 2018 : Agir ensemble pour n’oublier personne répond à ces questions et à bien d'autres. Il s’appuie sur les données les plus récentes pour montrer ce qu‘être « laissé de côté » veut dire. Tout en adoptant un large éventail de perspectives, l’ouvrage tire les leçons des politiques publiques, des pratiques et des partenariats qui fonctionnent le mieux. Il propose un cadre d’action holistique et innovant pour garantir que les politiques et les outils de coopération au développement soient à la hauteur de l’enjeu : n’oublier personne.

Anglais
  • 30 juil. 2018
  • OCDE
  • Pages : 143

Comprender de mejor manera como los inmigrantes influyen en la economía de Costa Rica puede ayudar a los responsables de la elaboración de políticas públicas a aprovechar al máximo los efectos positivos de la inmigración, y a mitigar los negativos. Este informa revela que los efectos de la inmigración son variados, pero que su incidencia económica es limitada. La inmigración tiende a reducir la tasa de empleo de la población autóctona, pero no afecta los ingresos laborales. Se calcula que la proporción del valor agregado producida por los inmigrantes es superior a su proporción en la población. En 2013, la contribución de los inmigrantes a las finanzas gubernamentales fue menor que la de la población autóctona, mientras que los gastos públicos fueron similares entre las dos poblaciones. Las políticas que tienen como objetivo facilitar la integración, aumentando el acceso de facto a los servicios públicos y al mercado laboral, pueden impulsar la contribución económica de los inmigrantes.

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de Costa Rica es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El proyecto se propuso analizar varios efectos económicos – en el mercado laboral, el crecimiento económico y las finanzas públicas – de la inmigración en diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudafrica y Tailandia. Las pruebas empíricas proceden de una combinación de análisis cualitativos y cuantitativos de fuentes de datos secundarias y en algunos casos primarias.

Anglais
  • 05 juil. 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 178

Los efectos recientes de la inmigración en la economía argentina parecen ser limitados, pero positivos. En promedio, la inmigración no está asociada ni con la pérdida de empleo ni con una disminución de los ingresos de la población nacida en Argentina. Por el contrario, la inmigración altamente calificada está asociada con ingresos laborales en aumento entre los egresados de la universidad, y la inmigración de mujeres poco calificadas viene con una mayor participación en la fuerza laboral de las mujeres autóctonas poco calificadas. Se calcula que la contribución de los inmigrantes al valor agregado es inferior a su participación en la fuerza laboral, pero superior a su proporción en la población. Se calcula también que la contribución de los inmigrantes a las finanzas públicas en 2013 fue mínima. Más políticas migratorias y no migratorias, así como una mejor coordinación entre diversos ámbitos de políticas, podrían fomentar aún más la integración y la contribución económica de los inmigrantes.

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de Argentina es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El proyecto se propuso analizar varios efectos económicos —en el mercado laboral, el crecimiento económico y las finanzas públicas— de la inmigración en diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudáfrica y Tailandia. Las pruebas empíricas proceden de una combinación de análisis cualitativos y cuantitativos de fuentes de datos secundarias y en algunos casos primarias.

Anglais
  • 12 juin 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 151

Comprender mejor la manera en la que los inmigrantes influyen en la economía de la República Dominicana puede ayudar a los responsables de la elaboración de políticas a aprovechar al máximo los efectos de la inmigración. Este informe revela que los efectos de la inmigración en la República Dominicana son variados, pero que su incidencia económica es limitada. Aunque los inmigrantes parecen reemplazar a los trabajadores autóctonos en el mercado laboral, al verse incrementada la competencia, no se ha detectado repercusión alguna en los ingresos laborales de la población autóctona. Se calcula que la proporción del valor agregado producida por los inmigrantes es cercana a su proporción en la población. Asimismo, los inmigrantes hacen aportaciones positivas al presupuesto del Estado, ya que pagan más impuestos indirectos, pero se benefician del gasto público en menor medida que la población autóctona. Las políticas que tienen como objetivo facilitar la integración de los inmigrantes y una mejor inserción de la inmigración en diferentes políticas sectoriales, son factores que podrían impulsar la contribución económica de los inmigrantes en la República Dominicana.

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de la República Dominicana es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El proyecto se propuso analizar varios efectos económicos –en el mercado laboral, el crecimiento económico y las finanzas públicas – de la inmigración en diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d’Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudáfrica y Tailandia. Las pruebas empíricas proceden de una combinación de análisis cualitativos y cuantitativos de fuentes de datos secundarias y en algunos casos primarias.

Anglais

Plan d’action multipartite en 10 points à l’intention des employeurs, des réfugiés, des gouvernements et de la société civile

Espagnol, Anglais

El plan de accion multi-actor de 10 puntos para empleadores, personas refugiadas, gobiernos y la sociedad civil

Français, Anglais

México avanza lentamente por el camino hacia la igualdad de género. Muchas políticas públicas encaminadas a empoderar a las mujeres ya están en marcha: en las dos últimas décadas, México ha incrementado la inversión en educación para niñas, aumentó considerablemente el cupo en estancias infantiles y en preescolar, mejoró la incorporación de la transversalidad de género en el gobierno y aseguró que las mujeres estén bien representadas en las elecciones. Sin embargo, a pesar de estos esfuerzos, muchas mexicanas aún no sienten los efectos de estas políticas en casa, en el trabajo o en los espacios públicos. Sigue habiendo grandes diferencias entre los sexos en cuanto a resultados educativos, participación en el mercado laboral, remuneraciones, informalidad y horas dedicadas al cuidado infantil y tareas domésticas no remuneradas. “Llevar a México a su máximo potencial”, como prescribe el Plan Nacional de Desarrollo, dependerá crucialmente de cuánto se cierren las brechas de género en la vida política, social y económica, y se promueva un cambio social verdadero. México debe continuar invirtiendo en políticas sociales y de mercado laboral que fortalezcan a las mujeres y revitalizar los esfuerzos para reducir las desigualdades en educación, participación en la fuerza de trabajo, calidad del trabajo, trabajo no remunerado y liderazgo. Esto requerirá incorporar los objetivos de igualdad de género en todas las políticas públicas y presupuestos, a través de todos los niveles de gobierno, y asegurar la implementación efectiva, aplicación y evaluación de políticas y leyes para lograr resultados inclusivos.

Anglais
  • 19 avr. 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 212

Cómo los inmigrantes contribuyen a la economía de los países en desarrollo es resultado de un proyecto realizado por el Centro de Desarrollo de la OCDE y la Organización Internacional del Trabajo, con el apoyo de la Unión Europea. El informe abarca diez países socios: Argentina, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Ghana, Kirguistán, Nepal, la República Dominicana, Ruanda, Sudáfrica y Tailandia. El proyecto denominado Evaluación de la contribución económica de la migración laboral en los países en desarrollo como países de destino (ECLM por sus siglas en inglés) tenía como propósito el de proporcionar pruebas empíricas —tanto cualitativas como cuantitativas—  de las diversas formas en las que los inmigrantes influyen en sus países de acogida.

El informe demuestra que la migración laboral ejerce un impacto relativamente limitado tanto sobre el rendimiento de los trabajadores autóctonos en el mercado laboral, como en el crecimiento económico y las finanzas públicas de los diez países socios. Esto implica que la percepción según la cual la inmigración genera efectos negativos, muchas veces no se justifica. Esto significa también que la mayoría de los países de destino no potencian lo suficiente el capital humano y los conocimientos que los inmigrantes brindan. Las políticas públicas pueden desempeñar un papel fundamental para fomentar la contribución de los inmigrantes en el desarrollo de los países de acogida.

Anglais, Français
  • 12 avr. 2018
  • OCDE
  • Pages : 494

Cette quatrième édition examine les différentes facettes des inégalités, démontrant que les lacunes dans les réalisations et opportunités des personnes ont un impact direct sur les différentes dimensions du bien-être. Elle révèle des disparités dans tous les pays de l’OCDE et décompose les résultats en fonction de l’âge, du sexe et du niveau d’études. Elle met également en évidence les nombreux freins au bien-être auxquels sont confrontés les immigrés lorsqu’ils essaient de s’adapter dans leur nouveau pays. Le rapport examine aussi le point de vue des citoyens sur les institutions, dévoilant les écarts entre les pouvoirs publics et les gens qu’ils servent. Enfin, à travers 41 fiches, il dresse un bilan pays par pays, identifiant les forces, défis et changements du bien-être au fil du temps.

Comment va la vie ? fait partie de l’Initiative du vivre mieux de l’OCDE, qui présente une série d’études et d’analyses sur le bien-être et sa mesure et comprend le site web interactif de l’Index du vivre mieux.

Espagnol, Coréen, Anglais
  • 29 mars 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 142

L'immigration a des effets positifs, quoique limités, sur l’économie de la Côte d’Ivoire. Sur le marché du travail, les immigrés ne semblent pas peser négativement sur les salaires ou les conditions de travail de la population active autochtone. Les immigrés génèrent par ailleurs une valeur ajoutée supérieure à leur pourcentage dans la population et leur présence semble augmenter la productivité des entreprises informelles. Les estimations portant sur la contribution fiscale nette des immigrés varient pour leur part en fonction des hypothèses adoptées. Des politiques publiques visant à accroître les effets positifs de l’immigration supposent d'investir davantage dans l’intégration des immigrés et de relever le défi de l'informalité.

Comment les immigrés contribuent à l'économie de la Côte d'Ivoire est le fruit d’un projet mené conjointement par le Centre de développement de l’OCDE et l’Organisation internationale du travail (OIT), avec le soutien de l'Union européenne. Le projet vise à évaluer l’impact économique de l’immigration sous différentes dimensions – marché de l'emploi, croissance économique et finances publiques – dans les dix pays partenaires du projet : Afrique du Sud, Argentine, Costa Rica, Côte d' Ivoire, Ghana, Kirghizistan, Népal, République dominicaine, Rwanda et Thaïlande. Cet examen s’appuie sur une combinaison d’analyses quantitatives et qualitatives de données primaires et secondaires.

  • 29 mars 2018
  • OCDE, Organisation internationale du travail
  • Pages : 218

Le rapport Comment les immigrés contribuent à l’économie des pays en développement est le fruit d’un projet mené conjointement par le Centre de développement de l’OCDE et l’Organisation internationale du travail, avec le soutien de l’Union européenne. Il couvre les dix pays partenaires – l’Afrique du Sud, l’Argentine, le Costa Rica, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kirghizistan, le Népal, la République dominicaine, le Rwanda et la Thaïlande – de ce projet, « L’évaluation de la contribution économique des migrations de travail dans les pays en développement comme pays de destination », visant à apporter des preuves empiriques – à la fois quantitatives et qualitatives – des multiples façons dont les immigrés influent sur leurs pays d’accueil. 
 
Ce rapport met en avant l’impact relativement limité des migrations de travail sur les performances des travailleurs autochtones sur le marché du travail, la croissance économique et les finances publiques dans les dix pays partenaires. Cela signifie que la crainte que les immigrés génèrent des effets négatifs s’avère souvent injustifiée, mais aussi que la plupart des pays de destination ne tirent pas suffisamment parti du capital humain et de l’expertise que les immigrés ont à offrir. Les politiques publiques peuvent jouer un rôle déterminant pour accroître la contribution des immigrés au développement de leur pays d’accueil.

Espagnol, Anglais

Este informe describe un cambio de paradigma en las políticas de seguridad vial, liderado por un pequeño grupo de países, conforme a los principios del Sistema Seguro. Un Sistema Seguro está basado en la premisa de que los accidentes de tránsito son predecibles y prevenibles, y de que es posible transitar hacia cero muertes y lesiones graves por accidentes de tránsito. Ello, sin embargo, requiere reconsiderar de manera fundamental la gobernanza y la implementación de las políticas de seguridad vial.
 
En el afán de contener la epidemia de muertes por accidentes de tránsito, las Naciones Unidas han establecido la meta de reducir a la mitad el número de víctimas fatales para 2020. Cada año, 1,25 millones de personas pierden la vida en accidentes de tránsito y hasta 50 millones sufren lesiones graves. Los accidentes de tránsito matan a más personas que la malaria o la tuberculosis, y se encuentran entre las diez principales causas de muerte. Su costo económico estimado oscila entre el 2 y 5% del PIB en muchos países. Escrito por un grupo internacional de expertos en materia de seguridad vial, este informe ofrece mejores prácticas y un punto de partida para que los líderes gubernamentales, administraciones públicas, el sector privado y la academia tracen sus propios caminos hacia un Sistema Seguro.

Anglais

Cette seconde édition de la publication phare du Programme LEED, Création d’emplois et développement économique local,  explore les moyens par lesquels les acteurs nationaux et locaux peuvent mieux travailler ensemble pour soutenir le développement économique et la création d’emplois au niveau local. Elle apporte un éclairage sur toute une série d’enjeux, allant de l’adaptation du développement des compétences aux besoins des territoires, à l’implication des employeurs dans les systèmes d’apprentissage et à la mise en œuvre efficace des politiques en faveur des PME et de l’entrepreneuriat. Cette publication présente des comparaisons internationales permettant aux territoires de mieux appréhender leur positionnement face aux défis liés à l’emploi et aux compétences. Dans cette version française abrégée, les profils de pays de la Belgique, du Canada, de la France, et de la Suisse sont présentés. Ces derniers comprennent, entre autre, des nouvelles données sur l'offre et la demande des compétences au niveau régional ou infrarégional.

Anglais
  • 11 mars 2016
  • OCDE
  • Pages : 284

Le rapport Comment va la vie ? décrit les facteurs déterminants du bien-être dans les pays membres et partenaires de l’OCDE. Il présente un large éventail de statistiques, qui portent à la fois sur le bien-être matériel (à savoir les revenus, l’emploi et le logement) et la qualité de la vie au sens large (à savoir la santé, l’éducation, l’équilibre entre travail et vie privée, l’environnement, les liens sociaux, l’engagement civique, le bien-être subjectif et la sécurité). Le rapport fait le point sur les niveaux de bien-être les plus récents, sur son évolution dans le temps et sur sa répartition entre différentes catégories de population.

Cette troisième édition de Comment va la vie ? apporte en outre des éclairages nouveaux sur le bien-être. L’accent est mis sur le bien-être des enfants, et les données montrent que tous ne prennent pas un bon départ dans la vie ; le bien-être des enfants des familles les plus mal loties étant plus incertain. Le rapport propose également de nouveaux indicateurs afin d’étudier l’évolution de certaines ressources naturelles, humaines, sociales et économiques qui favorisent la durabilité du bien-être au fil du temps. Un chapitre consacré au bénévolat met en évidence que les activités bénévoles peuvent être à l’origine d’un cercle vertueux : faire le bien autour de soi est également bénéfique pour soi et cela entraîne de nombreux autres avantages en termes de bien-être, tant pour les bénévoles eux-mêmes que pour la société dans son ensemble. Enfin, le rapport examine les inégalités en matière de bien-être entre différentes régions à l’intérieur des pays et montre que le lieu où l’on vit peut influer sur la qualité de vie des personnes.

Comment va la vie ? fait partie de l’Initiative du vivre mieux de l’OCDE, qui comprend une série de publications sur la mesure du bien-être ainsi que l’Indicateur du vivre mieux, site web interactif destiné à faire participer les citoyens au débat sur ce qu’une vie meilleure signifie pour eux.

Coréen, Anglais, Espagnol
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