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L’effort d’aide de la Norvège place ce pays au deuxième rang des Membres du CAD pour ce qui est du rapport de l’APD au PNB. L’aide au développement bénéficie en Norvège d’un large consensus national dû au soutien sans réserve des églises et des ONG, et à une sensibilisation efficace aux problèmes de développement. Quelque 40 % du programme bilatéral administré par la Norvège transitent ainsi par des ONG norvégiennes. L’aide au développement à long terme de la Norvège est fortement orientée vers la réduction de la pauvreté, l’aide allant essentiellement aux pays pauvres menant de bonnes politiques. La Norvège suit à cet égard une triple approche : aider les pays concernés à promouvoir la croissance économique ; favoriser la mise en œuvre des programmes de développement social ; enfin, cibler l’aide sur les groupes vulnérables. Les approches opérationnelles de la Norvège et ses crédits budgétaires à l’appui de la réduction de la pauvreté peuvent, toutefois, être encore renforcés dans le cadre de l’effort général mené à l’échelle internationale pour réduire de moitié la proportion de pauvres d’ici 2015. Les ambitions de la Norvège en ce qui concerne la promotion des droits de l’homme, de la démocratie et de la paix, ont ouvert de nouveaux domaines d’action et généré des défis majeurs aux niveaux stratégique et organisationnel. De plus, si la Norvège s’attache à concentrer son aide bilatérale sur 12 pays prioritaires, les priorités politiques et humanitaires sont devenues un deuxième élément de l’aide norvégienne et en ont accru sa dispersion géographique. Les examens en matière de coopération pour le développement prévus pour l'an 2000 porteront sur les Membres du CAD suivants : la France, la Nouvelle-Zélande, l'Italie, la Suède, la Suisse et le Portugal.

Anglais

Cette Ligne directrice décrit une méthode d'essai conçue pour étudier, en laboratoire, les effets potentiels à long terme d'une exposition unique à des produits phytosanitaires et d’autres substances chimiques sur l'activité de transformation du carbone par les micro-organismes de sol.

Deux concentrations au minimum de la substance d'essai sont recommandées pour les produits phytosanitaires (cinq pour les autres substances chimiques). Le sol tamisé est divisé en fractions de poids égal (trois pour des produits phytosanitaires, six pour les autres substances chimiques) comprenant des fractions mélangées au véhicule contenant le produit, et le témoin. Trois réplicats au minimum des sols traités et non traités sont recommandés. Après 0, 7, 14 et 28 jours d'incubation, les échantillons de sol traité et le témoin sont mélangés à du glucose, et les taux de respiration induite par le glucose sont mesurés pendant 12 heures d’affilée. Les taux de respiration sont exprimés en dioxyde de carbone émis ou en oxygène consommé. Le taux moyen de respiration des échantillons de sol traités est comparé à celui du témoin et le pourcentage de déviation entre les deux est calculé. Tous les essais durent au moins 28 jours. Si, le 28ème jour, les différences entre les sols traités et non traités sont égales ou supérieures à 25%, les mesures sont continuées à des intervalles de 14 jours jusqu’à un maximum de 100 jours. Les résultats sont analysés en utilisant un modèle par régression, et les valeurs de CEx sont calculées. Quand la différence entre les taux de respiration entre le traitement et le témoin est égale ou inférieure à 25 % pour les mesures effectuées après le 28ème jour, les produits phytosanitaires son considérés comme n'ayant aucun effet à long terme sur la transformation de carbone dans les sols. Les valeurs CE50, CE25 et/ou CE10 sont employées pour les substances autres que des produits agrochimiques.

Anglais

Cette Ligne directrice a trait à l’estimation des processus d’adsorption et de désorption des substances dans différents sols. Elle vise à livrer une valeur de sorption permettant de prévoir la répartition dans diverses conditions d’environnement. À cette fin, on détermine les coefficients d’adsorption à l’équilibre d’une substance chimique dans divers sols en fonction des caractéristiques de ces derniers (la teneur en carbone organique, la teneur en argile, la texture et le pH).

L’essai se déroule en trois étapes : la première étape est l’étude préliminaire, la deuxième étape est l’essai de sélection et la troisième étape consiste en la détermination des isothermes d’adsorption de Freundlich ou l’étude de la désorption à l’aide de la cinétique de désorption et des isothermes de désorption de Freundlich, selon le cas. Deux méthodes sont possibles pour l’analyse: la méthode indirecte ou directe. La méthode indirecte comprend l'ajout de la substance d'essai aux échantillons de sol, l'agitation du mélange pendant un temps approprié, l'analyse de la phase aqueuse après centrifugation et la filtration de la suspension de sol. La quantité de substance d'essai adsorbée sur l'échantillon de sol est calculée comme étant la différence entre la quantité de substance d'essai présente au départ dans la solution et la quantité subsistant à la fin de l'expérience. La méthode directe est recommandée quand la différence de concentration de la substance en solution ne peut être déterminée avec précision.
Anglais

Cette Ligne directrice décrit une méthode pour analyser le comportement de dissolution- extraction des polymères dans l'eau, laquelle utilise la méthode du flacon avec des modifications.

Trois échantillons de 10 g de particules de la substance d'essai sont pesés dans chacun de trois récipients équipés de bouchons en verre. 1000 ml d'eau sont ajoutés dans chaque récipient. Les récipients sont bien bouchés puis agités à 20°C pendant normalement une période de 24 heures. Puis, le contenu de chaque récipient est centrifugé ou filtré et la concentration du polymère dans la phase aqueuse limpide est déterminée par une méthode analytique appropriée. Pour une analyse directe de la phase aqueuse une seule taille d’échantillons est suffisante. L'analyse de toutes les espèces polymères de la phase aqueuse peut être réalisée soit par une méthode suffisamment sensible, soit par évaporation à sec, sous vide, de l'extrait aqueux, suivie d'une analyse du résidu par spectroscopie ou par SAA-PCI. Quand la détermination du comportement de dissolution-extraction des polymères consiste uniquement en la détermination de la teneur en carbone organique total (COT) de l'extrait aqueux, un essai additionnel est effectué, sur des échantillons de deux tailles différentes en trois exemplaires, avec des échantillons de polymère dix fois plus petits et les mêmes quantités d'eau que celles qui ont été utilisées dans le premier essai. Une détermination gravimétrique est effectuée sur la partie non dissoute ou non extraite de l'échantillon.
Anglais
  • 21 janv. 2000
  • OCDE
  • Pages : 16

Cette méthode d’essai est conçue pour évaluer les effets d’une exposition prolongée à des produits chimiques sur la croissance des poissons au stade juvénile.

Des juvéniles en phase de croissance exponentielle sont placés, après avoir été pesés, dans des enceintes d'essai et sont normalement exposés à cinq concentrations sublétales de la substance d'essai dissoute dans l'eau, de préférence selon une méthode dynamique ou dans des conditions semi-statiques appropriées (renouvellement discontinu). La durée d'essai est de 28 jours. La ration alimentaire quotidienne est basée sur le poids initial des poissons et peut être recalculée après 14 jours. Le rapport d'étude inclut la mesure de concentration de la substance d'essai, l'observation des anomalies externes et comportements anormaux et le poids des poissons à la fin de l'essai. Les effets sur des taux de croissance sont analysés à l’aide d’un modèle de régression afin d'estimer la concentration qui causerait une variation de x % du taux de croissance (CEx). Alternativement, les données peuvent être comparées aux valeurs témoins afin de déterminer la concentration minimale avec effet observé (CMEO) et, de là, la concentration (maximale) sans effet observé (CSEO).

Anglais

Cette Ligne directrice décrit une méthode d'essai conçue pour étudier en laboratoire les effets à long terme des produits chimiques, après une exposition simple, sur l'activité de transformation de l'azote par les micro-organismes du sol.

Le sol tamisé est modifié avec l’ajout de la farine de plante en poudre, et traité avec la substance d'essai d’une part, non traité d’autre part. Pour les produits agrochimiques, deux concentrations au minimum d'essai sont recommandées (cinq pour les substances autres que des produits agrochimiques) ; celles-ci devraient être choisies par rapport à la concentration la plus élevée prévue sur le terrain. Le sol est divisé en trois parties de poids égal (six pour les substances autres que des produits agrochimiques). Deux parties sont mélangées au véhicule contenant le produit (cinq pour les substances autres que des produits agrochimiques), et l'autre est mélangée au véhicule sans produit (témoin). Trois réplicats au minimum pour les sols traités et non traités sont recommandés. Après 0, 7, 14 jours et 28 jours d'incubation, des échantillons de sols traité et du témoin sont extraits au moyen d’un dissolvant approprié, et les quantités de nitrate extraites sont déterminées. Tous les essais durent pendant au moins 28 jours. Si, le 28ème jour, les différences entre les sols traités et non traités sont égales ou supérieures à 25%, les mesures sont continuées jusqu’à un maximum de 100 jours. Les résultats sont analysés à l’aide d’un modèle par régression et les valeurs CEx sont calculées.

Anglais

La réforme de la réglementation menée aux Pays-Bas est riche d'enseignements tant pour la modernisation de l'État-providence en Europe que pour l'intégration au marché unique européen. La réforme de la réglementation est la composante la plus récente de la rénovation du modèle néerlandais. Aux réformes apportées aux marchés du travail et au système de protection sociale dans les années 80 a succédé, dans les années 90, la recherche d'un « nouvel équilibre entre la protection et le dynamisme », fondé sur la politique de la concurrence, la réforme de la réglementation et l'ouverture des marchés. Les Pays-Bas font aujourd'hui partie des pays de l'OCDE les plus performants au regard de nombreux critères économiques, notamment pour la croissance de l'emploi. Bien qu'encore à ses débuts, la réforme de la réglementation a déjà apporté des avantages considérables aux Pays-Bas, en termes de compétitivité, de flexibilité, ou de bénéfices pour les consommateurs. Des défis majeurs restent cependant à relever. La lenteur de certaines réformes importantes indique que le modèle néerlandais est encore en train de chercher l'équilibre entre l'établissement d'un consensus et l'ajustement des politiques. De l'application de la réforme à de nombreux nouveaux domaines découleront des gains aussi importants qu'un net progrès du taux d'emploi, une amélioration des performances sectorielles, et une réduction des coûts de la protection sociale. Les Pays-Bas sont un des premiers pays à avoir demander à l'OCDE de procéder à un examen général de ses pratiques réglementaires et des réformes de la réglementation menées à l'échelon national. Cet ouvrage est le fruit de l'évaluation approfondie menée par l'OCDE et d'un examen par ses pays Membres. Il présente une évaluation intégrée sans équivalent de la réforme de la réglementation dans des domaines aussi essentiels que le contexte macro-économique, la qualité du secteur public, la politique de la concurrence et sa mise en oeuvre, ainsi que l'intégration des principes d'ouverture du marché dans les processus réglementaires et dans des secteurs tels que l'électricité et les télécommunications. Les politiques recommandées offrent un plan d'action équilibré à court et à plus long terme fondé sur les meilleures pratiques réglementaires à l'échelon international. Pour en savoir plus A lire dans la même collection : La réforme de la réglementation au Japon, La réforme de la réglementation aux États-Unis, La réforme de la réglementation au Mexique. L'analyse de fond dont découlent ces premiers examens par pays est présentée dans le Rapport de l'OCDE sur la réforme de la réglementation : Rapport de synthèse et dans les deux volumes du Rapport de l'OCDE sur la réforme de la réglementation : Études sectorielles et Études thématiques, publiés en 1997.

Anglais
  • 10 déc. 1999
  • OCDE
  • Pages : 247

Ce rapport consacré à la Fédération Russie évalue les progrès accomplis ou à faire dans la réduction de la charge polluante, la gestion des ressources naturelles, l'intégration des politiques économique et environnementale et le renforcement de la coopération internationale. Les analyses s'appuient sur un large ensemble de données économiques et environnementales.

Anglais

Le gouvernement espagnol a entrepris de gros efforts pour consolider le cadre de sa politique de coopération pour le développement et améliorer la qualité et la transparence de son aide. Un projet de loi sur la coopération pour le développement a été soumis au Parlement à l'automne 1997 et de nouveaux systèmes de planification et d'évaluation destinés à faciliter la gestion de l'aide sont en cours de mise en place, dont un plan indicatif pluriannuel et des programmes par pays. Malgré de sérieuses contraintes budgétaires, il est par ailleurs envisagé d'accroître le budget de l'aide. Ces initiatives ont été accueillies favorablement par le Comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE à l'occasion de l'examen de la politique et du programme d'aide de l'Espagne. Le Comité a également pris note du net rééquilibrage de l'effort d'aide espagnol où l'accroissement sensible du programme d'aide sous forme de dons s'est accompagné d'une diminution des crédits d'aide liée du Fonds d'aide au développement (FAD), et il a exprimé le voeu que cette tendance se poursuive. Le CAD a encouragé les autorités espagnoles dans leur effort pour garantir une plus grande cohérence des crédits du FAD avec les objectifs de coopération pour le développement et les orientations générales de l'aide espagnole. Eu égard aux bonnes pratiques en vigueur parmi les donneurs, le Comité s'est déclaré favorable aux mesures visant à rehausser l'efficacité du programme d'aide de l'Espagne et la capacité de ce pays de le mettre en oeuvre, et a invité les autorités espagnoles à réfléchir à un certain nombre d'autres initiatives destinées notamment à :
- garantir une application plus rigoureuse des critères de développement pour l'identification et la sélection des projets financés par des crédits du FAD et une meilleure coordination de ces derniers avec le programme de dons, une attention particulière étant accordée à la situation des pays très endettés ;
- poursuivre les efforts engagés pour doter l'AECI d'une plus grande autonomie au regard des règles administratives et en matière de recrutement, afin d'en améliorer la souplesse de fonctionnement et le professionnalisme, de sorte qu'elle puisse fonctionner dans le cadre de la loi envisagée ;
- réaliser une étude sur la liaison de l'aide afin d'en mieux appréhender les avantages et les inconvénients et d'alimenter le débat sur cette question à l'échelon national ;
- continuer d'améliorer les méthodes d'administration des subventions aux ONG.
En 1998, les examens de la politique de coopération pour le développement concerneront les pays Membres du CAD suivants : Allemagne, Canada, Communauté européenne, Etats-Unis, Finlande, et Luxembourg.

Anglais
  • 20 oct. 1999
  • OCDE
  • Pages : 198

Ce rapport consacré à la Turquie évalue les progrès accomplis ou à faire dans la réduction de la charge polluante, la gestion des ressources naturelles, l'intégration des politiques économique et environnementale et le renforcement de la coopération internationale. Les analyses s'appuient sur un large ensemble de données économiques et environnementales.

Anglais

Le Japon est le donneur le plus généreux du CAD, en volume, mais ne se classe qu’à la 19ème place parmi les 21 Membres du comité par son rapport APD/PNB. Comparativement à celui des autres Membres, son programme d’aide fait une large place aux prêts, privilégie l’Asie et les pays à revenu intermédiaire et accorde une grande importance aux infrastructures économiques par rapport aux secteurs sociaux.
Le Japon s’applique résolument à améliorer son programme d’aide ; à cet effet, il a engagé une réforme administrative, entrepris d’expérimenter la nouvelle stratégie internationale en matière de développement, adopté une approche ciblée par pays et pris des mesures visant à rehausser la qualité, la transparence et l’efficience de son aide.
Le CAD se félicite de cette évolution tout en recommandant au Japon de s’employer également à : - renforcer les effectifs affectés au programme d’aide et décentraliser l’administration de ce dernier ; - associer davantage les ONG à l’action engagée ; - se préoccuper plus systématiquement des problèmes transversaux tels que la lutte contre la pauvreté, l’égalité homme-femme et la bonne gestion des affaires publiques ; - tenir compte dans la conception et l’évaluation des projets des questions d’efficacité par rapport au coût, de viabilité et d’adéquation technologique ainsi que des retombées socio-économiques ; - resserrer le dialogue avec les pays bénéficiaires.
Des examens en matière de coopération pour le développement sont prévus pour l’an 2000 pour les Membres suivants du CAD : France, Nouvelle-Zélande, Italie, Suède, Suisse et Portugal.

Anglais

La rapidité, la nature et le caractère incertain de l’évolution de la situation économique, sociale et politique de la Fédération de Russie continuent à poser d'immenses défis pour l’enseignement tertiaire et la recherche dans les universités, les écoles professionnelles de niveau supérieur et les instituts de l’Académie des Sciences. Ces défis appellent des stratégies de réformes afin d’élargir le champ des opportunités d’apprentissage dans l’enseignement tertiaire et d'accroître la qualité et l'étendue de la recherche, mais aussi afin que l’enseignement tertiaire et la recherche puissent alimenter la croissance économique et contribuer au bien-être social. Cet ouvrage s'appuie sur l’une des études les plus récentes, complètes et prospectives en la matière. L’examen proposé tient compte des structures spécifiques, des atouts et des traditions de l’enseignement tertiaire et de la recherche en Fédération de Russie. Il offre un ensemble d’orientations générales et de recommandations spécifiques pour les politiques concernant des questions clés telles que : l’accès, la qualité et les niveaux d’enseignement ; les nouvelles orientations permettant de diversifier et rendre accessible l’enseignement tertiaire ; la qualité de la recherche dans les établissements académiques et les instituts de recherche ; et les réformes dans la gestion, l’administration et le financement de l’enseignement et de la recherche. Cet examen de l’enseignement tertiaire et des politiques de recherche a été précédé par une première analyse du système d’enseignement général russe intitulée Examens des politiques nationales d’éducation : Fédération de Russie.

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L’année 1999 marque le 25ème anniversaire du programme d’aide publique de l’Irlande « Irish Aid ». Ces cinq dernières années, le volume de l’aide publique au développement (APD) de l’Irlande a progressé en moyenne de 20 pour cent par an en termes réels, soit plus rapidement que celui de n'importe quel autre Membre du Comité d’aide au développement (CAD) de l’OCDE. Selon les données préliminaires dont on dispose, l’aide de l’Irlande a atteint 0.30 pour cent du PNB en 1998, ce qui représente près du double de son niveau de 1992, et devrait atteindre 0.35 pour cent en 1999. Après six ans de croissance remarquable en volume et d’amélioration de la qualité de l’aide, l’essentiel de la hausse intervenue en 1999 a été destiné à des mesures d’allégement de la dette, aux contributions à l’Union européenne, à des opérations humanitaires d’urgence et au soutien aux réfugiés en Irlande et non au financement des programmes de développement à long terme administrés par le ministère des Affaires étrangères. Toutefois, la volonté politique qu’a exprimée le ministre des Finances en faveur de l’aide permettra d’assurer une augmentation de l’enveloppe budgétaire consacrée à la partie du programme dont s’occupe le ministère des Affaires étrangères en 2000 et 2001. Le programme d’aide irlandais se heurte à deux difficultés : comment assurer au mieux son expansion et comment gérer au mieux cette expansion ? C’est à l’évidence à l’Irlande qu’il appartient de résoudre ces difficultés, mais le Comité d’aide au développement peut mobiliser son expérience collective pour aider l’Irlande à y réfléchir. Un point de départ, tiré de l’expérience d’autres pays, est que l’Irlande doit conserver et même renforcer le ciblage de son programme, qui est à l’heure actuelle l’un de ses points forts.
Les examens en matière de coopération pour le développement prévus pour l’an 2000 porteront sur les Membres suivants du CAD : France, Nouvelle-Zélande, Italie, Suède, Suisse et Portugal.

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La réforme de la réglementation est au coeur de la stratégie de redressement économique et de croissance à long terme du Japon. Des progrès considérables ont déjà été accomplis pour réaliser cette priorité identifiée dès 1994 par le gouvernement japonais, mais il est aujourd'hui indispensable d'approfondir et d'accélérer la réforme de la réglementation. Cet ouvrage prône une rupture radicale avec les pratiques réglementaires et les doctrines du passé. Des mesures énergiques, relevant à la fois de la réforme sectorielle et de la réforme des conditions cadres, doivent être adoptées rapidement pour parachever le passage d'un modèle de croissance induite par l'Etat, devenu largement inopérant, à un modèle de croissance impulsée par le marché, seul à même de jeter les bases d'une compétitivité et d'une prospérité durables au Japon. Le Japon est l'un des premiers pays à avoir demandé à l'OCDE de procéder à un examen général de ses pratiques réglementaires et des réformes de la réglementation menées à l'échelon national. Cet ouvrage est le fruit de l'évaluation approfondie menée par l'OCDE et d'un examen par ses pays Membres. Il présente une évaluation intégrée sans équivalent de la réforme de la réglementation dans les domaines aussi essentiels que le contexte macro-économique, la qualité du secteur public, la politique de la concurrence et sa mise en oeuvre, ainsi que l'intégration des principes d'ouverture du marché dans les processus réglementaires et dans des secteurs tels que l'électricité et les télécommunications. Les politiques recommandées offrent un plan d'action équilibré à court et à plus long terme fondé sur les meilleures pratiques réglementaires à l'échelon international. Pour en savoir plus A lire dans la même collection : La réforme de la réglementation aux Etats-Unis, La réforme de la réglementation au Mexique et La réforme de la réglementation aux Pays-Bas. L'analyse de fond dont découlent ces premiers examens par pays est présentée dans le Rapport de l'OCDE sur la réforme de la réglementation : Rapport de synthèse et dans les deux volumes du Rapport de l'OCDE sur la réforme de la réglementation : Etudes sectorielles et Etudes thématiques, publiés en 1997.

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L'aide publique au développement (APD) du Danemark dépasse, en volume, celle des 21 autres Membres du Comité d'aide au développement (CAD) de l'OCDE. Depuis 1992, l'APD danoise se maintient en effet aux alentours de 1 % du produit national brut (PNB), en volume, et ce grâce à la vigueur du consensus que suscite l'aide au développement et du soutien qu'elle recueille dans l'opinion publique. L'effort d'aide danois se distingue également par sa qualité. Abstraction faite de son volume, l'aide danoise s'appuie sur une stratégie à long terme bien définie, dont les grands axes - en particulier la place centrale qui y est faite à la réduction de la pauvreté - sont conformes à la stratégie de partenariat pour le développement approuvée par le CAD en 1996.
Le Danemark a réussi à concentrer son aide bilatérale sur 20 pays, dont 18 sont des pays à faible revenu ou comptent parmi les pays les moins avancés. L'aide est en outre ciblée sur des secteurs qui présentent une importance particulière pour les pauvres et sur des programmes destinés aux régions les plus démunies de ces pays, contribuant ainsi à faire refluer la pauvreté. Le Danemark mène, depuis 1996, une politique de « multilatéralisme actif » afin que soit pris en considération son souci d'amélioration du ciblage et de l'efficacité des programmes multilatéraux. Il n'est toutefois pas évident que cette démarche ait vraiment contribué à produire les résultats escomptés, car elle s'apparente encore davantage à de l'unilatéralisme qu'à une entreprise commune.
Le Danemark fournit depuis longtemps un bel exemple des avantages qu'on peut retirer de l'intégration du système d'aide aux autres aspects des relations extérieures. Dans le cas de ce pays, cette intégration a contribué à la fois à la cohérence des relations avec les pays en développement et au professionnalisme du programme d'aide, lesquels sont encore renforcés par une décentralisation effective des responsabilités aux ambassades danoises dans les pays du programme. Grâce à cette approche intégrée, les services responsables de l'aide danoise au développement (Danida) ont pu entreprendre, depuis 1994, d'abandonner l'aide-projet au profit d'une aide-programme sectorielle (APS), en synergie avec la stratégie de partenariat préconisée par le CAD. Cette démarche implique un renforcement des activités de coordination, à la fois entre donneurs et avec les pays partenaires, auquel le Danemark est tout à fait favorable.
En 1999, la politique de coopération pour le développement des pays du CAD suivants sera examinée : Australie, Autriche, Danemark, Irlande, Japon et Norvège.

Anglais
  • 16 avr. 1999
  • Conférence Européenne des Ministres des Transports
  • Pages : 78

Cette publication fournit les statistiques les plus récentes sur la situation du marché des transports en Europe et s'efforce de mettre en évidence, notamment à l'aide de graphiques, les évolutions intervenues au cours de la période 1970-1997. Cet ouvrage offre au lecteur la primeur des tendances de l'évolution des transports car sa parution précède celle de toutes les études comparables. Il présente une analyse de la situation des transports dans les pays de l’Europe de l’Ouest et de l’Est ainsi que dans les pays baltes et la CEI.

Anglais
  • 06 avr. 1999
  • OCDE
  • Pages : 209

Ce rapport consacré à la République Tchèque évalue les progrès accomplis ou à faire dans la réduction de la charge polluante, la gestion des ressources naturelles, l'intégration des politiques économique et environnementale et le renforcement de la coopération internationale. Les analyses s'appuient sur un large ensemble de données économiques et environnementales.

Anglais

L'agriculture revêt une importance particulière en Corée pour des raisons politiques, stratégiques et culturelles. Comment les politiques agricoles coréennes ont-elles évolué au cours des deux dernières décennies ? Quels sont les effets de la crise de 1997 sur le secteur agricole et sur la mise en oeuvre des politiques agricoles ?
En s'appuyant sur la méthode bien connue de l'OCDE de calcul du soutien accordé à l'agriculture au moyen des Équivalents subvention à la production et à la consommation, cette étude constitue l'une des analyses et des évaluations les plus exhaustives de l'évolution rapide de l'agriculture coréenne.

Anglais
  • 16 mars 1999
  • OCDE
  • Pages : 233

Ce rapport consacré au Danemark évalue les progrès accomplis ou à faire dans la réduction de la charge polluante, la gestion des ressources naturelles, l'intégration des politiques économique et environnementale et le renforcement de la coopération internationale. Les analyses s'appuient sur un large ensemble de données économiques et environnementales.

Anglais
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