1887

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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 5
Cette Ligne directrice liste les méthodes servant à déterminer la densité de liquides et de solides. Elle ne donne qu'une courte description de ces méthodes. La densité d'une substance est le quotient de sa masse par son volume et est exprimée en  kg/m3.
Plusieurs méthodes sont applicables uniquement aux substances liquides : l'aréomètre, la méthode du corps immergé (toutes les deux sont des méthodes de flottabilité) et le densimètre oscillant. Ces méthodes sont applicables aux liquides dont la viscosité dynamique ne doit pas dépasser 5 Pa s dans le cas de l'aréomètre et du densimètre oscillant et 20 Pa s pour la méthode du corps immergé. La méthode pour les solides uniquement est le pycnomètre de comparaison à air. Le volume d'un échantillon du solide dans l'air ou dans un gaz inerte est mesuré dans un cylindre calibré de volume variable. Après quoi l'échantillon est pesé. Les méthodes pour les liquides et solides sont la balance hydrostatique (méthode de flottabilité) et le pycnomètre. La viscosité dynamique des liquides ne doit pas dépasser 5 Pa s dans le cas de la balance hydrostatique et 500 Pa s pour le pycnomètre.
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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour déterminer le point d’ébullition de substances d’essai. Le point d’ébullition d’un liquide est défini comme la température (en Kelvin) à laquelle la pression de vapeur est égale à la pression atmosphérique standard de 101.325 kPa.

L’influence des impuretés sur le point d’ébullition dépend de la nature de l’impureté. Les méthodes décrites dans cette Ligne directrice peuvent être appliquées à des substances liquides et à bas point de fusion, si toutefois celles-ci ne subissent pas de changement chimique à des températures inférieures au point d’ébullition. Les méthodes sont : l’ébulliomètre, la méthode dynamique, la méthode de distillation, la méthode selon Siwoloboff, la détection photoélectrique, l’analyse thermique différentielle, l’analyse calorimétrique différentielle. La détection photoélectrique et l'analyse thermique permettent de mesurer le point d'ébullition et le point de fusion. La méthode dynamique présente l'avantage de servir aussi à déterminer la pression de vapeur.

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Cette Ligne directrice est employée dans l'estimation et l'évaluation des effets toxiques de composés organophosphorés.

Des doses quotidiennes de la substance d’essai sont administrées oralement (de préférence par gavage ou via des gélules de gélatine) à des poules pondeuses domestiques (âgées de 8 à 12 mois) pendant 28 jours. Les animaux sont observés au moins quotidiennement jusqu’à 14 jours après la dernière dose. Des mesures biochimiques sont entreprises sur des poules choisies de façon aléatoire parmi chaque groupe après la dernière dose. Deux semaines après la dernière dose, le reste des poules est tué et l'examen histopathologique est entrepris. Le groupe de traitement devrait contenir au moins douze poules. Généralement, au moins trois groupes de traitement devraient être employés. Le niveau de la dose la plus élevée devrait être choisi dans le but d'induire des effets toxiques ; ensuite un ordre décroissant des niveaux de dose devrait être choisi. Un essai limite peut être réalisé si aucun effet n’est prévu à une dose de 1000 mg/kg pc/j. Les résultats de cette étude incluent une pesée au moins une fois par semaine, de la biochimie (estérase neurotoxique, acétylcholinestérase) et des observations détaillées, de même qu’une autopsie générale et de l'histopathologie. Les résultats de cette étude devraient être évalués en termes d'incidence, sévérité, et corrélation des effets comportementaux, biochimiques et histopathologiques et de tous les autres effets observés dans chacun des groupes traités et de contrôle.

Anglais
  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour déterminer la tension superficielle (en N/m) des solutions aqueuses. Les méthodes sont basées sur la mesure de la force qu'il est nécessaire d'exercer verticalement sur un étrier ou un anneau, en contact avec la surface du liquide, afin de le séparer de la surface, ou d'un plat, dont un bord est en contact avec la surface, afin d'arracher le film formé.

Il y a quatre méthodes différentes : la méthode de la plaque, la méthode de l'étrier, la méthode de l'anneau et la méthode de l'anneau harmonisée de l'OCDE. Elles sont décrites en détail dans la norme ISO 304-1985. Les méthodes décrites s'appliquent aux solutions aqueuses de la plupart des substances indépendamment de leur degré de pureté. La concentration doit être 90% de la solubilité à saturation, mais doit être au-dessous de 1g/l. Ceci sera donc effectué sous un dispositif de couverture pour éviter des interférences à 20°C environ. L'anneau est immergé en dessous de la surface de la solution. Alors, le porte échantillon, sur lequel est posé le récipient, est abaissé graduellement et à une vitesse constante d'approximativement 0.5 cm/min pour détacher l'anneau de la surface jusqu'à ce que la force maximum soit atteinte. La force est lue sur le tensiomètre. Après exécution de la première mesure, des mesures sont répétées jusqu'à ce qu'une valeur constante de tension superficielle soit atteinte.

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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 7

Cette Ligne directrice décrit des méthodes pour déterminer la solubilité dans l’eau des substances d’essai. La solubilité d’une substance dans l’eau est sa concentration de saturation dans l'eau à une température donnée. Cette Ligne directrice porte sur la mesure de la solubilité de substances essentiellement pures, stables dans l'eau et non volatiles. Avant de déterminer la solubilité, il est utile de disposer d'informations sur la substance telles que la formule développée, la pression de vapeur, la constante de dissociation et l'hydrolyse en fonction du pH.

La méthode par élution sur colonne et la méthode du flacon, couvrent respectivement les solubilités inférieures et supérieures à 10-2 g/l. L’essai est pratiqué de préférence à 20 ± 0,5°C. Un essai préliminaire simple permet de déterminer approximativement la quantité de substance à utiliser dans l'essai proprement dit, ainsi que le temps nécessaire pour atteindre la saturation.

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La substance d’essai est administrée oralement par une dose unique à des poules domestiques. Les animaux sont observés pendant 21 jours, puis le reste des poules est tué et l'examen histopathologique est entrepris.

La jeune poule pondeuse domestique adulte (Gallus gallus domesticus), âgée 8 à 12 mois, est recommandée. Le dosage unique avec la substance d'essai devrait normalement s’effectuer par voie orale via un gavage, des gélules, ou une méthode comparable. Les groupes d’essai devraient contenir au moins douze poules, et le groupe de contrôle positif au moins six poules. L’objectif de l’étude préliminaire est de maximiser la dose de l’étude principale. L’essai limite correspond à une dose unique d’au moins 2000 mg/kg poids corporel/jour. Le niveau de dose de l’étude principale devrait être aussi élevé que possible en prenant en compte les résultats de l’étude préliminaire et du niveau de dose maximum (2000 mg/kg pc/j). Les résultats de l’étude incluent des mesures (poids), de la biochimie (estérase neurotoxique) et des observations quotidiennes détaillées, de même qu’une autopsie générale et de l’histopathologie. Les résultats de cette étude devraient être évalués en termes d'incidence, sévérité, et corrélation des effets comportementaux, biochimiques et histopathologiques et de tous les autres effets observés dans les groupes traités et de contrôle.

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Cette Ligne Directrice décrit une méthode pour déterminer expérimentalement la valeur du coefficient de partage (n-octanol/eau) (Poe), lorsque son logarithme décimal est compris entre -2 et 4 (et quelquefois 5). Cette méthode n'est pas applicable aux substances tensio-actives. Le coefficient de partage est défini comme le rapport des concentrations d'équilibre d'une substance dissoute dans un système à deux phases constitué de deux solvants pratiquement immiscibles.

L'essai doit être conduit à une température comprise entre 20°C et 25°C, maintenue constante à ± 1°C. On effectue trois essais avec des pourcentages n-octanol/eau différents. Pour chacun des trois essais, on préparera en double les récipients d'essai contenant des quantités exactement mesurées des deux solvants et de la solution mère. Après agitation, les deux phases sont généralement séparées par centrifugation. Il est nécessaire de déterminer les concentrations de la substance d'essai dans les deux phases. Les méthodes analytiques susceptibles de convenir sont la photométrie, la chromatographie en phase gazeuse et la chromatographie liquide à haute performance. La quantité totale de la substance dans les deux phases doit être calculée et comparée à la quantité introduite au départ. Les résultats de chaque essai permettent de déduire une valeur de Poe. Les six valeurs du log Poe doivent s'inscrire dans un intervalle de ± 0,3 unités.

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  • 27 juil. 1995
  • OCDE
  • Pages : 9

Cette Ligne directrice décrit plusieurs méthodes et dispositifs pour déterminer la température ou l’intervalle de températures de la transition de la phase solide à la phase liquide ou vice-versa.

Le point de fusion est défini comme la température à laquelle se produit le changement de la phase solide à la phase liquide à la pression atmosphérique. Ceci est considérablement affecté par les impuretés. La sélection d’une méthode particulière dépend principalement de l'état d'agrégation physique de l'échantillon et de la capacité de la substance à être facilement, difficilement ou non pulvérisable. Les méthodes présentées sont : le tube capillaire dans un bain liquide, le tube capillaire dans un bloc métallique, le banc chauffant de Kofler, le microscope à fusion, l’analyse thermique différentielle, l’analyse calorimétrique différentielle, le point de congélation, et le point d’écoulement.

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La méthode d'essai décrite dans cette Ligne directrice, est prévue pour définir les effets létaux et sublétaux des produits chimiques sur les premiers stades de vie des espèces examinés.

Les premiers stades de vie des poissons sont exposés à, au moins, cinq concentrations de la substance d'essai dissoute dans l'eau, de préférence dans des conditions de renouvellement continu du milieu, ou s'il y a lieu, dans des conditions semi-statiques. L'essai commence en plaçant les oeufs fécondés (au moins 60) dans les chambres d'essai, et continue au moins jusqu'à ce que tous les poissons témoins s’alimentent de façon autonome. Les effets létaux et sublétaux sont évalués et comparés aux valeurs témoin pour déterminer la concentration la plus basse pour laquelle on observe un effet, et la concentration sans effet observé. Le rapport d'étude inclut la mesure des concentrations de la substance d'essai dans l'eau à intervalles réguliers (cinq au moins), de l'oxygène dissous, du pH, la dureté et la salinité totale, du poids et de la longueur des poissons, ainsi que les observations d'apparence anormale, de comportement anormal, de l’éclosion et de la survie.

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Cette Ligne directrice décrit l'essai de Zahn-Wellens/EMPA. Elle est employée pour déterminer la biodégradabilité inhérente.

Un mélange contenant la substance d'essai non-volatile et hydrosoluble, les substances nutritives minérales et une proportion relativement importante de boue activée en milieu aqueux est agité et aéré à 20-25°C à l'obscurité ou sous lumière diffuse, pendant une durée pouvant atteindre 28 jours. Des contrôles, ne contenant que de la boue activée et des substances nutritives minérales mais aucune substance d'essai, sont réalisés en parallèle. La capacité fonctionnelle de la boue activée est étudiée grâce à l’utilisation d’un composé de référence (éthylèneglycol, diéthylèneglycol, laurylsulfonate ou aniline). Les récipients d’un essai-type sont au nombre de 1 ou 2 pour la suspension d'essai et pour le témoin avec inoculum et 1 pour le contrôle de procédure. Le processus de biodégradation est suivi en déterminant la Demande Chimique en Oxygène (DCO) ou par dosage du Carbone Organique Dissous (COD) dans les échantillons filtrés, prélevés quotidiennement ou à d'autres intervalles de temps. Il est obligatoire de suivre le COD dans la suspension d'essai et les témoins avec inoculum en parallèle. Le pourcentage de biodégradation au moment de la prise d'échantillon est donné par le rapport du COD éliminé (ou DCO) (ce dernier étant corrigé de la valeur obtenue dans le témoin), après chaque intervalle de temps, sur la teneur initiale en COD. Ce pourcentage est porté sur un graphique en fonction du temps pour donner la courbe de biodégradation. L'essai est considéré valide, si le contrôle de la procédure montre qu'au moins 70% de la substance de référence ont été éliminés en 14 jours et si la diminution du COD (ou de la DCO) dans la suspension d'essai se fait graduellement au cours du temps (jours ou semaines), ce qui indique un phénomène de biodégradation.

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  • 17 juil. 1992
  • OCDE
  • Pages : 29

Cette Ligne directrice décrit deux méthodes pour la biodégradabilité en eau de mer.

La méthode du flacon agité consiste en la dissolution d'une quantité prédéterminée de substance d'essai dans le milieu d'essai pour obtenir une concentration de 5-40 mg/l de carbone organique dissous (COD). Cinq flacons, au moins, doivent être utilisés, deux pour la suspension d'essai : deux pour le blanc et un pour le contrôle de la procédure. La solution de la substance d'essai dans le milieu d'essai est incubée, sous agitation, dans l'obscurité ou dans la lumière diffuse, dans des conditions aérobies, à une température fixe qui sera normalement comprise entre 15-20°C. La durée maximum recommandée d'essai est environ 60 jours. La dégradation est suivie des mesures de COD (dégradation finale) et, dans certains cas, d'analyses spécifiques (dégradation primaire). La méthode du flacon fermé consiste en la dilution d'une quantité prédéterminée de substance d'essai dans le milieu d'essai, à une concentration d'habituellement 2-10 mg/l de substance (une ou plusieurs concentrations peuvent être employées). La solution est maintenue dans un flacon rempli fermé, dans l'obscurité, dans un bain-marie ou une enceinte thermostatée entre 15-20°C. La dégradation est suivie en analysant l'oxygène sur une période de 28 jours, mais si la valeur du témoin pour la demande biologique en oxygène reste en dessous d’une limite de 30 %, l'essai pourra être prolongé. Vingt-quatre bouteilles au moins sont utilisées (8 pour la substance d'essai, 8 pour le composé de référence et 8 pour l’eau de mer avec des nutriments). Toutes les analyses sont exécutées en doublon. Quatre déterminations d'oxygène dissous, au moins, sont effectuées (jour 0, 5, 15 et 28) en employant une méthode chimique ou électrochimique.

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La mobilité personnelle et le transport des marchandises augmentent dans nos sociétés. Dans le même temps, la qualité de vie et celle de notre environnement, désormais sujets d'importance capitale, est diminuée à bien des égards par les nuisances du transport : nuisances sonores, pollution, vibrations et intrusion visuelle. De telles nuisances peuvent cependant être diminuées si elles sont dûment prises en compte lors de la planification des infrastructures de transport par exemple, en proposant des itinéraires alternatifs, des écrans anti-bruit, en préservant l’héritage archéologique et la nature (la faune et la flore)

La soixante-dix-neuvième Table ronde examine les études environnementales menées pendant la construction des infrastructures et montre comment les résultats peuvent être intégrés au processus décisionnel. Par exemple, en procédant au choix définitif des itinéraires, en évaluant le degré des nuisances et en définissant des valeurs seuils et en donnant une valeur monétaire aux effets.

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  • 24 févr. 1987
  • OCDE
  • Pages : 1

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 401 “Toxicité orale aiguë” a été supprimé le 17 décembre 2002.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 479 «Toxicologie Génétique : Essai in vitro d'Échange de Chromatides-soeurs sur Cellules de Mammifère» a été supprimé le 2 avril 2014.

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  • 23 oct. 1986
  • OCDE
  • Pages : 5

Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 484 "Toxicologie Génétique : Spot Test chez la Souris" a été supprimé le 2 avril 2014.

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L'essai de translocation héréditaire chez la souris détecte les changements chromosomiques structurels et numériques des cellules germinales de mammifères, mis en évidence dans la descendance de première génération.

Les types de changements de chromosome détectés dans ce système d'essai sont des translocations réciproques. Les porteurs des translocations et les femelles XO montrent une fertilité réduite, ce qui permet de sélectionner la descendance de première génération pour l'analyse cytogénétique. On observe cytogénétiquement des translocations dans des cellules méiotiques en diacinèse métaphase I des individus mâles. L'essai est habituellement réalisé par l'analyse de la progéniture masculine de première génération. 500 mâles environ de première génération par niveau de dose sont nécessaires. Un niveau de dose, habituellement la dose la plus élevée liée à la production d’effets toxiques minimaux, est administré par intubation orale ou injection intrapéritonéale. Deux programmes de traitement sont possibles, l'administration unique de la substance d'essai ou l'administration de la substance d'essai 7 jours/semaine pendant 35 jours. La substance d'essai peut être sous forme solide, liquide, vapeur ou gazeuse. Pour tester des hétérozygotes de translocation, l’essai de fertilité de progéniture de première génération, ou l’analyse cytogénétique de toute la descendance masculine de première génération sont possible. Une substance d'essai ne produisant ni une augmentation statistiquement significative du nombre de translocations observées pour au moins un des points de l’essai, ni une augmentation du nombre de translocations observées, liée à la dose, statistiquement significative, est considérée non mutagène dans ce système.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 480 " Genetic Toxicology: Saccharomyces cerevisiae, Gene Mutation Assay " a été supprimé le 2 avril 2014.

 

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 481 "Toxicologie Génétique : Saccharomyces cerevisiae, Essai de Recombinaison Mitotique " a été supprimé le 2 avril 2014.

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Suite à la décision du Conseil de l’OCDE, l’essai 482 "Toxicologie Génétique : Lésion et Réparation d'ADN - Synthèse Non Programmée de l'ADN (UDS) sur Cellules de Mammifère - in vitro" a été supprimé le 2 avril 2014.

 

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Les effets létaux dominants (LD) causent la mort embryonnaire ou foetale. L’induction d'un événement létal dominant après exposition à une substance d'essai (liquide, solide, vapeur ou gaz,…) indique que la substance a affecté le tissu germinal des espèces d'essai. Les effets létaux dominants sont souvent le résultat des aberrations chromosomiques (anomalies structurales et numériques), mais les mutations géniques et les effets toxiques ne peuvent pas être exclus.

Cette Ligne directrice recommande des rats ou des souris comme espèces d'essai. Généralement, des mâles sont exposés à la substance d'essai et accouplés aux femelles vierges non traitées. Le moyen le plus employé est l'administration unique de la substance d'essai par voie orale ou par injection intrapéritonéale. Normalement, trois niveaux de dose devraient être employés. Les différentes étapes de la formation des cellules germinales peuvent être testées séparément en employant différents intervalles d'accouplement. Les femelles sont sacrifiées après une période appropriée, et le contenu des utérus est examiné pour déterminer les nombres d'implants et d'embryons vivants et morts. Le calcul de l'effet létal dominant repose sur la comparaison du nombre d'embryons implantés vivants par femelle dans le groupe traité et dans le groupe témoin.

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