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Intégration régionale dans l’Union pour la Méditerranée : Rapport d’étape analyse les grandes tendances et l’évolution de l’intégration dans la région euro-méditerranéenne. Le rapport examine cinq domaines d’intégration régionale, à savoir l’intégration commerciale, l’intégration financière, l’intégration des infrastructures, la mobilité des personnes, ainsi que la recherche et l’enseignement supérieur. Le rapport présente une analyse originale des modèles et des défis de l’intégration dans la région euro-méditerranéenne, qui met en évidence l’interdépendance des domaines examinés – par exemple, comment accroître le commerce régional sans une connectivité des transports abordable ? Le rapport apporte un nouvel éclairage basé sur l’analyse temporelle d’indicateurs de performances quantitatifs et qualitatifs spécifiques. Près de 100 graphiques et tableaux présentent les données de 42 pays membres de l’Union pour la Méditerranée et, le cas échéant, des pays partenaires de la région. Le rapport fournit des points clés à retenir et des recommandations stratégiques visant à favoriser l’intégration régionale dans chacun des cinq domaines.
Como “árbitros de mercado”, los reguladores económicos contribuyen con la prestación de servicios públicos esenciales. Su cultura organizacional, comportamiento y gobernanza, son factores importantes para determinar su desempeño y el de los sectores regulados. Este informe aplica el Marco para la Evaluación del Desempeño de los Reguladores Económicos de la OCDE (PAFER, por sus siglas en inglés), para evaluar tanto la gobernanza interna como externa del Organismo Supervisor de la Inversión en Infraestructura de Transporte de Uso Público de Perú (OSITRAN). El reporte identifica las buenas prácticas del OSITRAN, analiza los factores clave de su desempeño, y propone una reforma integral para ayudar al regulador a prepararse para el futuro.
Il est essentiel que les ports fonctionnent de façon efficiente pour le développement économique de la vaste zone qui les entoure, mais le trafic maritime qui les dessert, la manutention des marchandises dans les installations portuaires et les activités de distribution dans l’arrière-pays peuvent avoir des impacts négatifs sur l’environnement.
La présente étude passe en revue un certain nombre d’impacts environnementaux des ports, et elle examine les impacts environnementaux et économiques de divers instruments d’action qui sont ou peuvent être utilisés pour remédier à ces impacts. Elle s’appuie essentiellement sur les résultats d’études de cas consacrées à cinq des plus grands ports de la zone OCDE, – à savoir ceux de Los Angeles et Long Beach aux États-Unis, Rotterdam aux Pays-Bas, Vancouver au Canada et Busan en Corée.
On trouvera dans cette étude des exemples de problèmes environnementaux liés aux activités portuaires (tels que pollution atmosphérique et émissions de gaz à effet de serre, pollution des eaux, bruit, prolifération d’espèces envahissantes, etc.) et la présentation d’un certain nombre d’instruments d’action différents pouvant être utilisés pour limiter les impacts négatifs. A ce titre, ce livre permettra aux décideurs et aux chercheurs de tirer des enseignements des expériences d’autres pays.
De très importantes entreprises multinationales du transport et de la logistique sont apparues avec pour objectif de fournir des services de transport intégrés à destination des chargeurs, le tout dans le contexte d’une économie mondialisée. Ces entreprises échappent-elles en raison de leur taille même au contrôle des autorités nationales de la concurrence ? Portent-elles atteinte à la concurrence lorsqu’elles fusionnent ou acquièrent d’autres entreprises au sein de la chaîne logistique ?
La Table Ronde a rassemblé des experts des questions de la concurrence avec des chercheurs des domaines du transport maritime, du fret ferroviaire et de la logistique pour cerner les questions saillantes qui relèvent de la concurrence et les réponses réglementaires appropriées. Un examen des stratégies des entreprises de transport et de logistique révèle qu’une intégration verticale peut certes engendrer des gains d’efficience, mais elle correspond le plus souvent au besoin d’intensifier l’usage des coûteux équipements fixes plus que d’un impératif de contrôler toutes les opérations de la chaîne logistique. Ceci explique que les firmes maritimes se portent acquéreurs d’opérateurs de terminaux. Les acquisitions horizontales, là où des entreprises similaires servant un même marché fusionnent, sont davantage susceptibles de poser des problèmes de concurrence. De tels problèmes peuvent particulièrement se poser au niveau d’équipements congestionnés.
Cette Table Ronde dresse un cadre pour l’examen des questions de concurrence au sein des activités de transport et de logistiques globales, elle discute de la pertinence des mesures à la portée des régulateurs, lorsque la concurrence est menacée et elle explore le rôle des autorités de concurrence et des Ministères des Transports dans la poursuite de l’organisation de marchés efficients.
Ce rapport passe en revue les principes clés que les gouvernements doivent prendre en considération dans leurs décisions relatives aux modalités de mise à disposition et de financement des infrastructures de transport terrestre, avec l'objectif de répondre aux besoins de la société et d'utiliser au mieux les ressources publiques. Il examine également les questions clés qui doivent être résolues pour faire davantage appel aux capacités de financement et au savoir-faire du secteur privé.
Cette Table Ronde fait partie d’une série de manifestations scientifiques organisées pour réfléchir aux instruments qui permettent d’améliorer la planification des transports. En abordant les effets macroéconomiques des politiques d’infrastructures de transport, elle visait à dresser un inventaire des outils analytiques et empiriques qui servent à déterminer le volume global des dépenses publiques à engager dans l’investissement en infrastructures de transport. Les documents de référence ont été fournis par MM. David Canning (Université de Harvard), Charles Hulten (Université du Maryland) et Andreas Kopp (Centre conjoint OCDE-CEMT de recherche sur le transports).
Les décisions d’investissement relatives aux projets d’infrastructure de transport nécessitent une délibération approfondie. Les gouvernements ont besoin de méthodes d’évaluation pour s'assurer que leurs rares ressources sont affectées de manière à maximiser leur "rendement net" pour la société. Comment améliorer l’allocation des fonds consacrés aux infrastructures de transport ? Les analyses coûts-avantages, très largement utilisées, sont-elles appropriées ? Les investissements en matière d’infrastructure de transport n’auraient-ils pas des effets plus larges sur le développement régional qui nécessiteraient d’être pris en compte lors du choix des priorités en matière d’infrastructure ? De tels effets ont-ils pu être identifiés dans les évaluations des principaux projets d’infrastructure de transport ? Quels effets pourrait-on inclure dans les futures méthodes d’évaluation ? Et quels sont les effets qui peuvent être considérés comme substantiels ? Enfin, comment les cadres d’évaluation répondent-ils aux objectifs des politiques gouvernementales ?
Ce rapport fournit des réponses à ces questions importantes en analysant, à travers des cas pratiques, les effets des investissements en matière d’infrastructure de transport.
Comment les administrations des routes peuvent-elles améliorer leur gestion du réseau routier ? En quoi une bonne gestion peut-elle contribuer au développement d'un système de transport efficace ? Quels indicateurs ou critères communs pourraient être développés pour les pays de l'OCDE ? Quelles données et quel réseau d'informations sont nécessaires pour alimenter ces indicateurs ?
Une analyse de la performance qui s'appuie sur des indicateurs clés fournit aux administrations des routes une base pour redéfinir leurs activités. Ce rapport ne définit pas un modèle que tous les pays devraient suivre. Ses conclusions devraient plutôt servir de cadre pour évaluer le rôle et la performance des administrations des routes dans les pays de l'OCDE.
L'intégration des marchés intérieurs européens est une question d'actualité qui a suscité de nombreuses actions au cours des dernières années. C'est également la condition sine qua non pour que les relations commerciales et l'activité économique se développent en Europe.
Ce livre est un outil essentiel pour tous les professionnels des transports. Il analyse les tendances les plus récentes en matière de transports et d'investissements. Il examine ensuite le processus paneuropéen d'harmonisation des législations et d'adaptation des systèmes de transport et fait le point sur l'émergence de nouveaux itinéraires de transport entre l'europe et l'Asie. Les obstacles au transport international de marchandises par voies routière et ferroviaire lors des passages aux frontières font également l'objet d'un examen minutieux ainsi que la lutte contre la délinquance et la fraude. Enfin, cet ouvrage aborde la question des partenariats public-privé, qui suscite un intérêt croissant, et en tire un certain nombre de conclusions.
Les transports entraînent des problèmes de congestion urbaine de plus en plus préoccupants. Les nouvelles infrastructures de transport font par ailleurs naître des différends sur la façon d'imputer au public le coût des services nouveaux et de concilier la demande de déplacement avec les efforts pour améliorer la qualité de la vie urbaine dans ses dimensions sociale et environnementale. Si ces contradictions ne sont pas surmontées, les partenariats entre les secteurs public et privé auront du mal à se développer. La solution passe par la mise en oeuvre de toute une panoplie de stratégies reposant sur une politique d’information et de communication renforcée à destination du public, des projets mieux conçus pour prendre en compte les objectifs sociaux et environnementaux, une approche de l’aménagement urbain holistique plutôt que sectorielle et des échanges de compétences plus intenses entre les secteurs public et privé.
Ce livre s’inspire d’une série d’études de cas, montrant aussi bien des réussites que des échecs, menées dans des pays tels que l'Australie, les Etats-Unis, la France, le Japon ou le Royaume-Uni. Afin d'éclairer ce débat majeur et faciliter la conception de nouvelles stratégies d'intégration des transports dans la ville, ce livre expose les voies les plus prometteuses pour : - répondre aux problèmes du transport urbain ; - améliorer les partenariats public/privé ; et - rendre socialement plus acceptables les nouveaux projets d'infrastructures et les péages routiers.
Avec les profonds bouleversements économiques des pays d'Europe centrale et orientale, la question des transports paneuropéens revêt une acuité considérable qui ne peut se saisir en simples termes quantitatifs : quels flux ? quelles origines ? quelles destinations ? L'ensemble du système des transports est à concevoir, tant en termes conceptuels qu'en termes de réalisations concrètes. Quelles infrastuctures et quel mode d'organisation des "marchés" des transports sont à faire prévaloir ? Comment assurer la cohérence entre une logique de l'urgence -- pour répondre à la croissance des échanges malgré l'inadéquation des réseaux de transport existants -- et les impératifs du long terme, tels que la sauvegarde de l'environnement ou l'intégration de l'Europe centrale et orientale à une vaste zone d'échanges culturels et économiques. Les experts participant à la Table Ronde 95 se sont attachés à aborder l'ensemble de ces questions tout en cernant les limites des réponses que l'on peut apporter à ce jour.
En Europe, les liaisons de transport avec la périphérie sont toujours insuffisantes alors que certaines zones plus centrales sont entravées par la congestion de la circulation. Puisque les nouveaux projets d'investissement pour entretenir les infrastructures et augmenter leurs capacités ne peuvent pas toujours être entièrement financées par l’État, la question d’utiliser des fonds privés se pose.
La quatre-vingt-unième Table ronde fait le bilan de ces problèmes et examine dans quelle mesure les apports de capitaux privés pourraient contribuer à financer les infrastructures de transport.
Cette Table ronde examine la conception et l’emplacement des installations de correspondance et des services de rabattement. Elle décrit le développement de modèles mathématiques pour prédire les effets de ces plans et étudie plus généralement certains problèmes d’intégration de l’évaluation des changements de véhicules dans un contexte de planification urbaine.