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L’édition 2024 des Tendances et politiques du tourisme de l’OCDE analyse les dernières performances touristiques et tendances politiques dans 50 pays de l’OCDE et économies partenaires. Cette édition fait le point sur la reprise de l’économie touristique après la pandémie et souligne la nécessité de politiques coordonnées et tournées vers l’avenir, à l’heure où les défis pour créer un élan en faveur d’un avenir plus résilient, durable et inclusif pour le secteur demeurent. Des données sur l’importance de l’économie touristique sont présentées, avec des données couvrant le tourisme intérieur, entrant et sortant, les entreprises et l’emploi, et la consommation du tourisme interne. Les priorités, réformes et développements de la politique du tourisme sont analysés, et des exemples de pratiques nationales sont mis en évidence. Les chapitres thématiques fournissent des informations sur le renforcement de la main-d’œuvre dans le secteur du tourisme et la création d’une base de données factuelles pour les politiques du tourisme durable.
La crise liée au COVID-19 a heurté de plein fouet le secteur du tourisme, à la fois par son ampleur et sa durée. Alors que le secteur commençait à se redresser, les retombées économiques de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine assombrissent de nouveau les perspectives de reprise. L’édition 2022 des Tendances et politiques du tourisme de l'OCDE analyse les performances du tourisme et les tendances des politiques visant à soutenir la reprise dans 50 pays de l'OCDE et économies partenaires.
Cette édition examine les principaux défis de la reprise du tourisme et les perspectives à venir. Elle souligne aussi la nécessité d'approches politiques coordonnées et tournées vers l'avenir afin de mettre le tourisme sur la voie d'un avenir plus résilient, plus durable et plus inclusif. L'importance de l'économie du tourisme est mise en évidence, avec des données couvrant le tourisme domestique, récepteur et émetteur, les entreprises et l’emploi, ainsi que la consommation du tourisme interne. Les priorités des pouvoirs publics, les réformes et les évolutions des politiques du tourisme sont analysées et des exemples de pratiques nationales sont présentés. Les chapitres thématiques mettent en lumière les moyens de renforcer la résilience de l’écosystème touristique et de promouvoir une reprise verte du secteur.
L’édition de 2018 analyse les performances touristiques et les tendances politiques à travers 49 pays de l’OCDE et d’économies partenaires. Le rapport souligne la nécessité d’approches cohérentes et globales quant à l’élaboration de politiques en matière de tourisme, ainsi que l’importance de l’économie touristique, avec des données couvrant le tourisme domestique, récepteur et émetteur, les entreprises et l’emploi, ainsi que la consommation du tourisme interne. Les chapitres thématiques expliquent à quel point la compréhension des impacts potentiels concernant les tendances globales peut permettre de mieux façonner l’avenir du tourisme ainsi que la nécessité d’une transition vers l’investissement et le financement pour une croissance touristique durable.
Каждый год на автомобильных дорогах мира погибает около 1,2 миллиона человек и еще 50 миллионов получают тяжелые травмы. Но аварии в большинстве случаев предотвратимы и есть много методов, позволяющих избавить людей от горя, которое они приносят, и снизить их негативные экономические последствия. Многие страны поставили перед собой задачи по снижению числа жертв на дорогах. Выполняют ли эти страны поставленные задачи? Что можно сделать прямо сейчас и в долгосрочной перспективе для выполнения этих задач? Есть ли предел возможностей у традиционных подходов к обеспечению дорожной безопасности? В данном докладе дается обзор последних событий и инициатив, направленных на выполнение все более амбициозных задач в области повышения уровня дорожной безопасности. Доклад уделяет особое внимание изменениям в системе ведомственного управления, которые необходимо ввести во многих странах для успешного применения мер по повышению безопасности на дорогах. Доклад подчеркивает также необходимость четкой ориентации на результат и рассматривает экономические обоснования для инвестиций в дорожную безопасность. Он призывает страны с высокими результатами по повышению дорожной безопасности сделать еще больше и активно рекомендует принять системный подход к безопасности, в долгосрочной перспективе способный привести к полному устранению жертв на дорогах. Доклад является наиболее значительным международным обзором достижений в области развития системного подхода к безопасности, принятого в настоящее время в небольшом числе стран. Доклад должен быть полезен всем, кто работает в области управления дорожным хозяйством, и тем, в чью сферу интересов входит повышение уровня безопасности дорожного движения.
Pour de nombreux urbanistes, il est important de contenir l’étalement urbain, qui est considéré comme à l’origine des coûts environnementaux et de la congestion. En revanche, beaucoup d’économistes attribuent des avantages à l’étalement urbain, qui permet par exemple aux ménages d’accéder à des logements plus grands et moins chers. Cette Table Ronde examine les coûts et les avantages de l’étalement urbain, en mettant en évidence les liens qui existent entre forme urbaine et croissance économique. Elle étudie les arbitrages à faire quand on tente de contenir l’extension des villes. Les débats prennent appui sur des communications de Mme Elizabeth Deakin (UC Berkeley) et de MM. Matthew Kahn (Tufts University), Gilles Duranton (University of Toronto) et David Banister (University College London).
Le débat en cours sur les politiques à mener traite le plus souvent les redevances d’utilisation des infrastructures comme s’il s’agissait d’instruments fiscaux destinés à gérer la demande de transport. La Table Ronde a analysé les perspectives de voir l’offre de services infrastructurels guidée également par les prix de ces services. Elle a débattu des possibilités d’accroître les moyens mobilisables pour financer les investissements en infrastructures de transport et l’entretien de ces dernières en créant un quasi-marché des services d’infrastructures de transport. Le public a souvent l’impression que les redevances représentent une hausse déguisée de la taxation. Une tarification qui prend en compte l’usage des infrastructures (moyennant une redevance par unité de service) et certains critères pour accroître la capacité des infrastructures devrait corriger cette impression et favoriser ainsi l’acceptabilité politique de la tarification des infrastructures.
Avec la levée de nombreuses barrières aux échanges, une intégration économique internationale plus poussée dépend essentiellement de la réduction des coûts des échanges au sein du secteur des transports. La Table Ronde s’est penchée sur la structure et le développement des coûts du transport international au cours des dernières décennies. Elle a identifié les bénéfices que l’on peut attendre d’investissements dans des équipements de transport international et dans la réduction des coûts de passage aux frontières. Les rapports introductifs ont été rédigés par David Hummels (Purdue University), Anthony Venables (London School of Economics et Centre for Economic Policy Research), ainsi que par Harry Broadman et John S. Wilson (Banque mondiale).
Ce document recueille les principaux termes utilisés dans le transport combiné ou qui s'y rapportent.
Toutes les définitions qui font une référence spécifique au cadre géographique de l'Europe peuvent être appliquées dans d'autres régions du monde. Elles servent aux travaux des trois organisations intergouvernementales qui ont établi cette compilation : UE, CEMT, et CEE-ONU.
Le rapport constate que les voiries urbaines sont de plus en plus encombrées, que le taux de motorisation augmente et que l’usage de la voiture se développe. Les agglomérations hongroises s’efforcent de préserver la part modale très favorable que détiennent leurs réseaux bien développés de transports publics, tout en devant assumer le fardeau financier associé au vieillissement du matériel roulant et des infrastructures. De surcroît, la prolifération galopante, à la périphérie des villes, de centres commerciaux peu accessibles par les transports en commun accroît encore la demande de déplacements en voiture.
A ce jour, peu de gouvernements se sont attachés à faciliter le flux indispensable des marchandises en ville et à réduire les effets nuisibles du transport urbain de marchandises sur la collectivité desservie. Ceci a accru les problèmes liés aux livraisons de marchandises, et notamment la concurrence entre transport de marchandises et transport de passagers pour l’accès à l’infrastructure routière et aux places de stationnement/livraison. Ce rapport fournit des recommandations pour faire face à ces défis.
Ce rapport passe en revue l'expérience de onze pays européens (y compris la Russie) et des États-Unis dans l'élaboration et la mise en oeuvre de politiques de transports urbains durables. Des rapports nationaux et une analyse synthétique permettent de tirer des leçons des politiques qui marchent, des cadres institutionnels et financiers appropriés et des partenariats innovants qui favorisent une concertation efficace et une mise en oeuvre responsable.
Les manifestations sportives, culturelles ou festives de grande envergure se multiplient. Elles ne constituent toutefois pas un ensemble homogène. Pour s’en convaincre, il suffit de comparer la Coupe du Monde de football et le Tour de France cycliste. Chacune de ces manifestations a ses caractéristiques propres.
Développer une réflexion globale sur les transports à l’occasion de tels événements est tout à fait nouveau. Les manifestations exceptionnelles génèrent des flux importants de visiteurs et nécessitent une intendance souvent très lourde. Elles exigent des moyens spécifiques en termes de transport et de logistique. La sécurité des transports est également cruciale lors de tels événements.
La Table Ronde a examiné diverses expériences en Europe et dans le monde. Il en ressort que des objectifs ambitieux en matière de transport contribuent à la qualité de l’événement.
Chaque expérience est pratiquement un cas unique et l’une des principales conclusions de la Table Ronde est qu’il faudrait que chaque manifestation ainsi que ses conditions d’organisation et de déroulement soient référencées. On pourrait ainsi constituer une "mémoire" accessible à tout candidat à l’organisation d’un tel événement. Cette Table Ronde est une première étape dans cette démarche.
Le lien entre transport et développement économique est une question très controversée qui a donné lieu à de nombreux débats et à une abondante littérature. Les hommes politiques tendent à penser que les investissements en infrastructures de transport favorisent le développement économique et par conséquent l’emploi. Toutefois, cette croyance n’est pas étayée par les analyses scientifiques qui semblent plutôt montrer que les effets de ce type d’investissements sur l’emploi et le développement économique sont faibles, tout au moins pour les pays développés, et qu’ils peuvent parfois même être négatifs à l’intérieur d’une région.
La Table Ronde a cherché à éclairer cette controverse en partant d’une analyse des arguments et contre-arguments relatifs au lien supposé entre les "infrastructures de transport" et le "développement économique". Elle en a tiré des conclusions à propos des méthodes d’évaluation des investissements couramment employées. Le débat s'est terminé par l’examen de l'essentielle question du découplage de la croissance des transports par rapport à la croissance économique.
Qu’est-ce qu’un transport intermodal de marchandises efficace ? Comment mettre en évidence les « meilleures pratiques » ? Quelles mesures les pays de l’OCDE prennent-ils pour évaluer l’efficacité relative des modes de transport et des combinaisons modales ? Comment peut-on améliorer les chaînes complexes du transport intermodal ? Enfin, comment identifier ces possibilités d’amélioration et les évaluer ? Le marché mondial d’aujourd’hui étant très concurrentiel, il exige des systèmes de transport intermodal qui répondent aux attentes de l’industrie en matière d’efficacité et de fiabilité, ainsi qu’aux impératifs de développement durable des pouvoirs publics. Si l’évaluation comparative est assurément un instrument qui contribue à la réalisation de ces objectifs, comment peut-on la mettre en oeuvre de façon concrète ? Ce rapport analyse des exemples d’évaluation comparative pour éclairer ces importantes questions.
La présente brochure formule les recommandations adressées aux gouvernements en vue de la mise en œuvre de politiques de transports urbains durables. Ces recommandations sont le résultat d’un projet triennal qui s’est efforcé de mieux comprendre pourquoi les pays éprouvent tant de difficultés à mettre en œuvre des stratégies intégrées de transports urbains. Les résultats et conclusions de ce projet sont publiés séparément sous le titre Transports urbains durables : la mise en œuvre des politiques - Rapport final. Ces messages-clés pour les gouvernements décrivent la manière dont les pays et les villes peuvent commencer à combler l’écart entre des recommandations politiques et leur mise en application.
De l'avis général, l'avènement de transports urbains durables ne peut passer que par la mise en oeuvre de panoplies de mesures intégrées et flexibles qui envoient les bons signaux aux secteurs des transports et de l'aménagement du territoire.Le projet de la CEMT sur "La mise en oeuvre des politiques de transports urbains durables" a démontré que la mise en oeuvre de panoplies de mesures intégrées s'avère plus facile en paroles qu'en actes dans un grand nombre de villes des pays de la CEMT et de l'OCDE. Alors que la planification urbaine et les politiques de transports sont définies et appliquées au niveau local ou régional dans de nombreux pays, il devient de plus en plus clair que l'administration nationale peut favoriser la mise en oeuvre de panoplies de mesures intégrées. En effet, les autorités nationales peuvent créer un cadre d'action souple et unifié dans une optique intersectorielle, et envoyer ainsi aux régions et aux villes des messages appropriés par le biais d’incitations des pouvoirs publics et par le financement de projets en faveur du développement durable. Ce rapport montre en quoi les administrations nationales peuvent servir de catalyseur propre à engendrer des pratiques durables en matière de transports locaux.
Depuis de nombreuses années, les spécialistes des transports, partout dans le monde, considèrent comme exemplaire l'expérience des Pays-Bas en matière de transports urbains. Les Néerlandais se sont résolument et durablement engagés en faveur d'une planification et de politiques intégrées des transports et de l'occupation des sols, pour développer au maximum l'utilisation des transports publics et de la bicyclette. Soutenus par une tradition de planification ancienne et hautement respectée, ils ont entrepris cette tâche dans un contexte institutionnel qui favorise la consultation et la recherche du consensus entre les différents secteurs et acteurs concernés.
Comme la plupart des pays, les Pays-Bas ont vu croître les pressions exercées par les transports sur l'environnement : augmentation de la congestion dans les zones urbaines et aux alentours, agressions sonores et pollution atmosphérique et problèmes posés par le trafic de transit international. Bien que les plans stratégiques pour les transports, l'aménagement du territoire et l'environnement aient défini un cadre général pour la prise en compte de ces pressions, il s'est révélé difficile dans de nombreux cas d'atteindre les objectifs et les buts énoncés dans ces plans sont souvent ambitieux.
Réalisé à l'occasion de la préparation du Plan national 2000 sur le trafic et les transports (NVVP) que les Pays-Bas ont récemment approuvé, ce rapport est une évaluation de la politique néerlandaise en matière de transports urbains qui s'appuie sur les conclusions établies par une équipe d'experts de la CEMT lors d'une visite effectuée aux Pays-Bas en juin 1999.